Dans le cadre de la mise en œuvre du projet «Autonomisation des femmes et des filles et dividende démographique au sahel» (SWEDD en anglais), le ministère de la Santé organise du 6 au 8 septembre 2017 à Bobo-Dioulasso une formation sur la planification familiale, la scolarisation des filles, l’autonomisation économique des femmes et des filles et la lutte contre le mariage d’enfants, au profit des journalistes. La cérémonie d’ouverture a eu lieu mardi en présence du représentant de la directrice de la promotion de la santé, Eric Doyé.
Au Burkina Faso, selon le représentant de la directrice de la promotion de la santé, la situation reste marquée par une forte fécondité, un faible maintien des filles à l’école et une faible autonomisation des femmes et des filles. De ses explications, il ressort que, c’est au regard de cette situation similaire à d’autres pays du Sahel, il a été mis en place ce projet SWEDD.
Et pour lui, cet atelier de 72 heures est consacré à l’amélioration des connaissances des hommes et femmes de medias en faveur d’une meilleure promotion des comportements favorables à l’atteinte des objectifs du projet SWEDD. «Ce présent atelier a pour objectif principal de donner des informations spécifiques sur le projet SWEDD et sur l’ensemble de ses thématiques. Et, dans sa composition, le projet travaille à améliorer la demande de service des santés reproductives, maternelles, néonatales, infantiles et nutritionnelles en favorisant les changements sociaux et comportementaux», a expliqué M. Doyé.
A l’écouter, pour mieux réussir les actions de communication, l’implication des acteurs secondaires à l’image des journalistes s’avère nécessaire. En effet, ajoute M. Doyé, ces acteurs, à travers leurs médias respectifs, peuvent constituer des relais importants pour diffuser les messages sur les différents sous projets, à l’endroit des populations cibles.
A l’issue de la formation, souligne le représentant de la directrice de la promotion de la santé, les hommes et femmes de médias devraient produire des articles sur les différentes thématiques.
A noter qu’une trentaine de participants issus des régions de mise en œuvre des différents projets (Nord, Sahel, Hauts Bassins, Cascades, Centre Nord, Centre Est, Boucle du Mouhoun, l’Est et la région du Centre) prennent part à la présente session de formation.
Lequel carton a énormément influencé notre qualification pour la coupe du monde. Le joueur a fait une faute normale en arrachant la balle avec son corps entre trois joueurs sénégalais. Mais malgré cela, mes 10 guerriers restant se sont donnés pour le bonheur du pays et c’est cela qui me fait plaisir. Nous restons en tête du groupe avec ce point et c’est le plus important. Dans une situation normale et avec le rythme que nous avons mis en début de rencontre, nous devrions gagner ce match pour aller en Afrique du Sud avec 3 points d’avance. Mais l’arbitre a décidé de nous prendre 2 points en donnant ce carton rouge. Je remercie les joueurs et ce formidable public. Nous allons jouer crânement notre qualification».