Les médias burkinabé évoquent, ce samedi, des sujets liés à la religion, à la culture et surtout à des faits de société.
«Cambriolage de boutiques à Ouagadougou: 9 délinquants aux arrêts, de nombreux biens saisis», plaque à sa Une le journal privé Le Quotidien.
Selon ce confrère, les responsables du commissariat de police de l’arrondissement de Baskuy ont mis à profit une conférence de presse, vendredi à Ouagadougou pour présenter aux journalites deux réseaux de présumés délinquants sévissant dans la capitale burkinabè.
Le même quotidien, le seul qui parait les samedis au Burkina Faso, évoque la grève illimitée des chauffeurs, renseignant que le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré a rencontré, la veille, l’Union des chauffeurs routiers du Burkina (UCRB), accompagnée par Confédération syndicale du Burkina (CSB).
A en croire le secrétaire générale de la CSB, Olivier Ouédraogo, cité par le journal, les transporteurs routiers vont se remettre incessamment au travail.
Dans son éditorial, Le Quotidien fait remarquer que cette grève des chauffeurs routiers est «le symbole d’un pays à la dérive».
De son côté, Lefaso.net, média en ligne, informe qu’«en grève depuis le 9 août dernier, les chauffeurs routiers du Burkina ont levé leur mot d’ordre d’arrêt de travail illimité».
Et de souligner que la nouvelle est tombée ce vendredi soir, quelques heures après une rencontre entre le président du Faso et une délégation des chauffeurs routiers.
En religion, Le Quotidien évoque le pèlerinage à la Mecque et, sous le titre : «Hadj 2017: Les premiers pèlerins burkinabè embarquent le 14 août», il revient sur la conférence de presse donnée par le Comité national de suivi du pèlerinage faire le point des préparatifs.
Parlant de cette rencontre avec les journalistes, le quotidien national Sidwaya, dans sa version en ligne, écrit que pour le Hadj 2017 au Burkina Faso, «plus de 7.000 pèlerins n’ont pas encore de visa».
Pour sa part, l’hebdomadaire culturel Evasion affiche en manchette: «Miss Burkina 2017: 21 candidates à la conquête de la couronne».
Ce journal indique qu’après cinq années de suspension, l’organisation du concours de beauté a repris du service avec le nouveau Comité Miss Burkina (N-COMIB), dirigé par Alpha Ouédraogo.
ALK/cat/APA