Les quotidiens burkinabè parvenus à APA ce vendredi, ont commenté des faits de société, sans oublier la politique marquée par le sixième sommet du Traité d’amitié et de coopération (TAC) entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire.
«6e conférence au sommet du TAC : Experts burkinabè et ivoiriens en éclaireurs», affiche à sa manchette, le quotidien privé Aujourd’hui au Faso.
Ce journal informe qu’en prélude à cette rencontre bilatérale de haut niveau, les experts des deux pays se réunissent à Ouagadougou, du 13 au 15 juillet, pour « tout d’abord, évaluer la mise en œuvre des décisions du 5e TAC, mais aussi, procéder à la validation des projets d’accords qui doivent être signés le 18 juillet prochain».
Aujourd’hui au Faso renseigne également que le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Burkinabè de l’étranger, Alpha Barry, a animé, hier jeudi, à Ouagadougou, une conférence de presse dont le sujet a porté sur l’organisation du 6e sommet du Traité d’amitié et coopération (TAC).
A ce sujet, Le Quotidien, reprend à sa Une, les propos du ministre Barry qui a déclaré que «le budget de l’organisation est de 376 millions de F CFA».
Pendant ce temps, le quotidien national Sidwaya affiche en première page : «VI sommet du Traité d’amitié et de coopération : le Burkina Faso présente 24 nouveaux projets».
Quant au quotidien privé Le Pays, il résume tout ceci, en faisant remarquer que «le ministre Alpha Barry déroule le menu» et que «les experts burkinabè et ivoiriens sont en conclave».
Pour sa part, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, revient sur l’affaire des magistrats épinglés par une enquête diligentée par le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), en y consacrant sa Une.
Le journal cite la secrétaire permanente du CSM, Victoria Ouédraogo/Kaboré qui affirme que «les mises en cause risquent des sanctions disciplinaires et pénales».
Le même journal parle du grand banditisme à Ouagadougou, faisant remarquer que «la police coupe la route à des braqueurs», là où Le Quotidien se veut précis, lorsqu’il titre: «Lutte contre le banditisme à Ouagadougou : 8 délinquants arrêtés, une dizaine de motos saisies».
Selon les quotidiens, c’est le commissariat de police de Nongr-Maasom (un des 12 arrondissements de Ouagadougou) qui a démantelé le réseau de présumés braqueurs qui troublaient la quiétude des populations de la capitale burkinabè.
«La présentation des présumés délinquants et des objets saisis, a eu lieu, hier jeudi 13 juillet à Ouagadougou, au cours d’une conférence de presse», rapporte le journal Le Pays dans le chapitre des faits de société.
ALK/of/APA