Le groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire demande la libération de Djibrill Bassolé, ancien ministre des Affaires étrangères, actuellement incarcéré à la Maison d’arrêt et de correction des armées (MACA) pour son rôle présumé dans le coup d'Etat mené par le général Diendéré le 16 septembre 2015, a-t-on appris jeudi de sources médiatiques.
L’information donnée par le journal La Lettre du continent, a été reprise par plusieurs médias de Ouagadougou dont certains en ont fait des éditoriaux.
«Jugeant arbitraires l’arrestation et la détention de Djibrill Yipéné Bassolé, le Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU, demande la libération immédiate de l’intéressé», renseigne Wakat Sera, un site d’information.
Selon ce journal en ligne, c’est ce qui ressort d’un document exclusif publié par la Lettre du continent le 4 juillet 2017, ajoutant que «dans le texte daté du 30 juin, le Groupe de travail onusien sur la détention arbitraire, n’a délibéré qu’après une longue et méticuleuse procédure qui a consisté à écouter sur tous les aspects, la source des requêtes et le gouvernement burkinabè».
Le Groupe de travail dans son document a expliqué que sur les détentions arbitraires, la mesure appropriée dans le cas d’espèce consisterait à la libération immédiate de M. Bassolé et à lui accorder le droit d’obtenir réparation, «conformément au droit international».
En effet, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme fait remarquer qu’il tient à l’œil les différentes parties dans l’exécution de sa demande.
Le général Djibrill Yipéné Bassolé a occupé plusieurs portefeuilles ministériels dont les Affaires étrangères et la Coopération régionale dans le dernier gouvernement de Blaise Compaoré, ex-chef de l’Etat burkinabè chassé par la rue et actuellement en exil à Abidjan.
Arrêté en fin septembre 2015, le général Bassolé a été incarcéré, quelques jours plus tard, à la Maison d’arrêt et de correction des armées.
Il est accusé d’être mêlé dans le coup d’Etat perpétré par le défunt Régiment de sécurité présidentiel (RSP), avec à sa tête le général Gilbert Diendéré), le 16 septembre 2015, contre les dirigeants de la Transition.
La principale pièce à conviction demeure officiellement, l’enregistrement d’une communication téléphonique qu’il aurait eu avec Guillaume Soro, actuel président de l’Assemblée nationale de Côte d’ivoire.
Le groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire demande la libération de Djibrill Bassolé, ancien ministre des Affaires étrangères, actuellement incarcéré à la Maison d’arrêt et de correction des armées (MACA) pour son rôle présumé dans le coup d'Etat mené par le général Diendéré le 16 septembre 2015, a-t-on appris jeudi de sources médiatiques. L’information donnée par le journal La Lettre du continent, a été reprise par plusieurs médias de Ouagadougou dont certains en ont fait des éditoriaux. «Jugeant arbitraires l’arrestation et la détention de Djibrill Yipéné Bassolé, le Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU, demande la libération immédiate de l’intéressé», renseigne Wakat Sera, un site d’information. Selon ce journal en ligne, c’est ce qui ressort d’un document exclusif publié par la Lettre du continent le 4 juillet 2017, ajoutant que «dans le texte daté du 30 juin, le Groupe de travail onusien sur la détention arbitraire, n’a délibéré qu’après une longue et méticuleuse procédure qui a consisté à écouter sur tous les aspects, la source des requêtes et le gouvernement burkinabè». Le Groupe de travail dans son document a expliqué que sur les détentions arbitraires, la mesure appropriée dans le cas d’espèce consisterait à la libération immédiate de M. Bassolé et à lui accorder le droit d’obtenir réparation, «conformément au droit international». En effet, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme fait remarquer qu’il tient à l’œil les différentes parties dans l’exécution de sa demande. Le général Djibrill Yipéné Bassolé a occupé plusieurs portefeuilles ministériels dont les Affaires étrangères et la Coopération régionale dans le dernier gouvernement de Blaise Compaoré, ex-chef de l’Etat burkinabè chassé par la rue et actuellement en exil à Abidjan. Arrêté en fin septembre 2015, le général Bassolé a été incarcéré, quelques jours plus tard, à la Maison d’arrêt et de correction des armées. Il est accusé d’être mêlé dans le coup d’Etat perpétré par le défunt Régiment de sécurité présidentiel (RSP), avec à sa tête le général Gilbert Diendéré), le 16 septembre 2015, contre les dirigeants de la Transition. La principale pièce à conviction demeure officiellement, l’enregistrement d’une communication téléphonique qu’il aurait eu avec Guillaume Soro, actuel président de l’Assemblée nationale de Côte d’ivoire.