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Régulation de la circulation routière à Ouagadougou : un dispositif policier qui dissuade les excès de vitesse et le non respect des feux tricolores
Publié le vendredi 12 juillet 2013   |  laborpresse.net


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© Autre presse par DR
Une circulation dense sur l’une des principales avenues de Ouaga


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Ouagadougou, capitale des deux roues. A ce slogan légendaire, on pourrait ajouter bien d’autres comme Ouagadougou, ville de la circulation acrobatique où tout le monde semble pressé et les feux tricolores mieux respectés avec la présence policière.

Le Ministère de la sécurité du Burkina a résolument opté d’œuvrer à développer les reflexes sécuritaires chez les citoyens tant en matière de circulation routière que d’actes de banditisme. C’est ainsi qu’il est demandé aux populations de veiller au respect des feux tricolores et d’éviter les excès de vitesse dans la circulation afin de réduire les risques d’accidents dramatiques. Cependant, les habitudes étant une seconde nature, des gens ont du mal à se départir des mauvaises pratiques sus citées dans la circulation. Aussi, la police se déploie souvent sur des artères de grande affluence de la ville pour réguler la circulation routière dans des carrefours et feux tricolores.
La présence des forces de sécurité,contraint des citoyens au respect de la règlementation en matière de circulation routière.Une action donc du concept de la police de proximité pour une collaboration et compréhension entre les citoyens et la police.

Résultat, quand la police est là, l’incivisme des usagers de la route disparait ! C’est un peu comme ces ralentisseurs posés sur des routes que d’aucuns appellent « gendarmes couchés » même si les gendarmes du Burkina n’aiment pas ce qualificatif et rétorquent que le gendarme se tient débout, prêt à accomplir sa mission partout et à tout moment. Alors, sans ralentisseurs et forces de l’ordre pour réguler la circulation routière, c’est l’anarchie et invectives sur les routes, essentiellement à Ouagadougou. Pour que ce comportement d’incivisme et de manque de courtoisie dont des habitants de Ouagadougou font acte, il convient que les uns et les autres comprennent qu’ils peuvent mettre leur propre vie et celles des autres en danger par des excès de vitesse et le non respect des feux tricolores. Les situations dramatiques récurrentes comme les fractures craniennes, des jambes et bras avec des cas mortels sont suffisamment révélateurs pour que les gens et surtout les jeunes et les femmes évitent les excès de vitesse.

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