Le président Kaboré nomme de nouveaux chefs dans l’armée burkinabè

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Publié le samedi 29 avril 2017 | Agence de Presse Africaine

© Présidence par D.R
Le Président du Faso dresse un bilan satisfaisant de son séjour au Soudan
De retour d’une visite d’amitié et de travail de 48 heures à Khartoum au Soudan, le Président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, s’est prêté à l’exercice du bilan de ce séjour qu’il a qualifié de « bref mais intense ». C’était à son arrivée, le lundi 27 mars 2017, à l’aéroport international de Ouagadougou

Le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré vient de nommer de nouveaux chefs à la tête de l’armée de terre, de l’Air et de la gendarmerie nationale, renseigne un communiqué du ministère de la défense, parvenu à APA vendredi.

Le document précise que c’est dans le cadre de la réorganisation du commandement des Forces armées nationales (FAN) que «le président du Faso, président du Conseil des ministres, Chef suprême des Forces Armées Nationales a signé six (06) décrets de nomination de responsables militaires le 27 avril 2017».

Il en ressort que le colonel-major Traoré Léon est nommé au poste de Chef d’Etat-major de l’armée de Terre, tandis que le colonel Ouédraogo Souleymane est désormais le Chef d’Etat-major de l’armée de l’air.

Quant au colonel Tapsoba Marie Omer Bruno, il est nommé au poste de Chef d’Etat-major de la gendarmerie nationale.

Les trois autres décrets concernent la nomination du Colonel Major Miningou Moïse comme Commandant du Groupement central des armées (GCA), de l’Intendant Colonel Major Parkouda Jean Baptiste comme Directeur central de l’intendance militaire et du colonel Tinguery Salif en tant que nouveau Directeur central du matériel des armées.

Ces changements de chefs militaires interviennent après la nomination (en décembre dernier) du chef d’état-major général des armées, le Général Oumarou Sadou.

Lors du conseil des ministres du mercredi dernier, un nouveau Directeur général (DG) Jean Bosco Kienou a été nommé à la tête de la police nationale en remplacement de Lazare Tarpaga dont le départ était exigé par des policiers.

ALK/of/APA