Les journalistes des Editions Sidwaya se sont retrouvés, le samedi 1er avril 2017, au resto « Le Carrefour de l’amitié », sis au quarier Nioko 2 de Ouagadougou, en vue de passer des moments conviviaux, loin des rédactions.
Une fois n’est pas coutume. Le samedi 1er avril 2017, les journalistes du « journal de tous les burkinabè » ont sacrifié au rituel annuel des retrouvailles. Et c’est le resto « Le Carrefour de l’amitié », sis à Nioko 2 à la sortie Nord-Est de Ouagadougou, qui a servi de cadre pour les journalistes. A 12 heures, les « ouvriers » de la « maison commune », se tapotent, s’entretiennent et prennent place sous le grand hangar.Parmi eux, des aînés qui ont marqué de leur plume les Editions Sidwaya. Des Directeurs de la communication et de la presse ministérielle (DCPM), à l’image de Clarisse Hema des Infrastructures, Bachirou Nana dit Bach de la Justice, Raphaël Kafando de l’Education nationale, Ali Traoré alias Le Général de la Communication étaient présents… Le personnel de service, sous le contrôle des chefs d‘orcheste, Assetou Badoh, Marc Doh alias Le Gourou et Alassane Kéré, passe noter les commandes de chacun. De la boisson est servie aux invités. L’ambiance est bon enfant, sur fond de diverses sonorités musicales. Aux environs de 13heures, le directeur des rédactions, Enok Kindo souhaite la bienvenue à ses « éléments », afin d’honorer ce rendez-vous, devenu une tradition au sein de la maison. Pour lui, les retrouvailles se veulent des moments de décompression, une aubiance pour rompre avec la routine de la rédaction. Mieux, c’est une occasion de brassage entre les générations permettant aux plus jeunes d’apprendre auprès de leurs devanciers et de renforcer les liens de confraternité, foi du directeur général des Editions Sidwaya, Rabankhi Abou-Bâkr Zida. « Il nous appartient de perpétuer cet esprit de solidarité », affirme-t-il. Ainsi, il témoigne sa gratitude aux aînés qui ont fait le déplacement du « Carrefour de l’amitié ». Avant de les inviter à toujours plaider la cause du « journal de tous les burkinabè » auprès des responsables de leurs institutions respectives.
Des talents de danseurs «cachés»
Ensuite place est faite au buffet. Au menu, du riz gras au « soumbala », du haricot vert, des galinacés, de la langue de bœuf…C’est du « self-service». A tour de rôle, chacun se sert avant de regagner sa chaise. L’instant est sacré, des « montagnes » formées sur les assiettes s’affaissent petit à petit. Aziz Abdel Nabaloum, dans un air humoristique, exhorte les uns et les autres à se servir à gogo.
Après le repas, les hommes et femmes de media sont invités à faire valoir leurs talents de danseurs. En sa qualité de premier responsable des rédactions, Enok Kindo donne l’exemple. Le Gourou et Ollo Aimé Césaire Hien de la rédaction Sport se défieront à distance, sans jamais rejoindre la piste de danse. L’on découvre également de grands danseurs, surtout en position assise tels que Eliane Somé, Fabé Mamadou Ouattara, Béranger Ilboudo qui hochent la tête. Tous apprécient l’ambiance de convivialité qui règne. Clarice Hema témoigne son immense joie d’avoir retrouvé ses anciens collègues, et salue l’opportinuté à elle offerte de garder contact avec la maison et de faire la connaissance des plus jeunes. Mme Hema propose que dans les années à venir soit organisée une journée portes ouvertes suivie d’une soirée Sidwaya. « On gagnerait à intégrer d’autres activités, d’’autres jeux », suggère-t-elle. Quant au chef de service régional de Sidwaya dans le Centre-Ouest, Francois Kaboré, il exprime sa satisfaction de s’être entretenu avec ses « petits frères ». Même son de cloche chez Abdias Sawadogo du Plateau central.
Valentin KABORE
(Collaborateur)