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Les partisans de Djibrill Bassolé exigent son évacuation à l’étranger pour des soins médicaux
Publié le lundi 27 fevrier 2017  |  Agence de Presse Africaine
Municipales
© aOuaga.com par Séni Dabo
Municipales du 22 mai : le parti au pouvoir accusé de corruption électorale
Lundi 30 mai 2016. Ouagadougou. L`opposition politique regroupée autour de son chef de file a animé une conférence de presse au cours de laquelle elle a accusé le parti au pouvoir de corruption lors des élections municipales du 22 mai dernier. Photo : Rasmané Ouédraogo, président de la Nouvelle alliance du Faso (NAFA)




La Nouvelle alliance du Faso (NAFA), parti de Djibrill Bassolé a, dans un communiqué parvenu à APA, exigé que leur leader, qui a été victime ce week-end d’un malaise en prison, soit transféré à l’étranger pour des soins appropriés.

« Djibrill Bassolé a été une nouvelle fois victime d’un malaise ce samedi 25 février. Par ce communiqué la NAFA tient à rappeler que la privation de soins à des personnes détenues est inacceptable dans un état de droit et constitue une violation flagrante des droits de la personne humaine », a indiqué le texte.

Le président de la NAFA, Rasmané Ouédraogo, signataire du communiqué, exige sans ‘’délais et sans condition’’ « l’évacuation à l’étranger du prisonnier politique Djibrill Bassolé pour des soins médicaux ».

Le parti a par ailleurs exigé « la cessation immédiate de l’instrumentalisation politique du dossier Djibrill Bassolé et la libération ‘’immédiate’’ de Djibrill Bassolé en attendant son procès ».

La NAFA rappelle que c’est « suite aux informations persistantes sur la fragilisation progressive de l’état de santé et les manœuvres de privation de soins médicaux dont est victime, le prisonnier politique Djibrill Bassolé de la part des autorités judicaires militaires burkinabè , la Nouvelle Alliance du Faso (NAFA) exprime ses vives inquiétudes pour la vie de son candidat aux élections présidentielles de novembre 2015 ».

Bassolé avait déjà été transféré de la Maison d’arrêt et de correction des armées (MACA) le 23 janvier 2017 dans une clinique de Ouagadougou où il avait fait un séjour de 24 heures et selon la NAFA, « Djibrill Y Bassolé devait y retourner pour des soins et examens complémentaires le 1er février ».

La NAFA rappelle « aux autorités judiciaires et politiques du MPP (parti au pouvoir ) qu’elles seront tenues pour seules responsables pour tout dommage irréversible ou qui adviendrait sur l’état de santé de Djibrill Bassolé ».


GS/of/APA
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