Politique
Les vœux des chefs d’État africains pour 2017
Publié le jeudi 5 janvier 2017 | Jeune Afrique

© Présidence par D.R
Nouvel an : les corps constitués présentent leurs voeux au chef de l`Etat Les corps constitués de l’Etat ont présenté leurs vœux de nouvel an au Président du Faso, Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian Kaboré, dans l’après-midi du vendredi 30 décembre 2016 à la Présidence du Faso |
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Tradition oblige, ce début d'année est marqué par les vœux de différents chefs d'État à leur peuple. De Mohammed VI à Ali Bongo Ondimba en passant par Alassane Ouattara, petite sélection non-exhaustive des souhaits présidentiels et monarchiques pour 2017.
Paul Biya
Confronté à la grogne de la population anglophone du pays, le président du Cameroun a noté que cela avait pu « fragiliser les fondements même de notre vivre ensemble ». Mais il a rappelé que « le Cameroun est un pays plus que jamais debout. Un pays un et indivisible, fier de sa diversité culturelle » et « engagé à construire une nation unie, inclusive et bilingue ».
Paul Biya a également eu une pensée pour « nos soldats et nos citoyens civils tombés pour la défense de la patrie tout au long de l’année », mais aussi pour les victimes de la catastrophe d’Eseka. « C’était un moment de grande douleur pour la nation entière. Notre peuple a su faire preuve de solidarité dans ce drame », a-t-il dit.
Béji Caid Essebsi
Qualifiant l’année 2016 de « difficile à bien des égards », le président tunisien Béji Caid Essebsi a dénoncé « l’agitation créée sciemment sans une lecture objective des données » au sujet du possible retour de terroristes tunisiens au pays. Il a également affirmé qu’une normalisation des relations entre la Tunisie et l’État d’Israël « ne se produira jamais », démentant ainsi les rumeurs à ce sujet.
Yahya Jammeh
Le président gambien, qui après avoir reconnu sa défaite à la présidentielle du 1er décembre est revenu sur sa décision, a prononcé à la télévision nationale gambienne un discours incisif. « Défendre notre indépendance et notre souveraineté totale est un devoir envers tous les Gambiens patriotiques, plus encore les Forces armées de Gambie », a-t-il martelé.
Yahya Jammeh précise également qu’il est « prêt à défendre » son pays « contre toute agression », notamment de la part de la Cédéao qu’il attaque : « La décision de la Cédéao (…) est en effet une déclaration de guerre et une insulte à notre Constitution ». ... suite de l'article sur Jeune Afrique

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