Mise en œuvre du PNDES : Le ministère de la Communication réfléchit sur son apport

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Publié le mercredi 28 decembre 2016 | AIB

© Autre presse par DR
Le porte parole du Gouvernement, Rémis Fulgance DANDJINOU

Ouagadougou - Le deuxième Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM) du ministère de la Communication, s’est tenu mardi à Ouagadougou, sous le thème «développement du secteur de l’information et de la communication, défis et perspectives dans le cadre du Plan national de développement économique et social(PNDES) ».

«Ce thème est d’actualité, car il permettra de discuter de nos préoccupations à travers des échanges sur les plans stratégiques de développement, de partager nos points de vue et d’examiner les perspectives dans le cadre du PNDES», a relevé le ministre de la Communication Rémis Fulgance Dandjinou, à l’ouverture des travaux.

Le CASEM est l’instance suprême du département habilité à faire le bilan de l’exécution des missions et surtout à adopter de meilleures stratégies pour améliorer nos performances, a rappelé M. Dandjinou.

Durant l'année 2016, souligne-t-il "nous nous sommes évertués à mettre en œuvre notre programme d'activités qui découle de notre lettre de mission, inspirée par le programme politique du président du Faso Roch Marc Christian Kaboré" .

Selon lui, ce présent CASEM s’inscrit dans un contexte de communication au niveau national et international sur le PNDES, en vue de la mobilisation des ressources financières nécessaires à sa mise en œuvre.

Aussi poursuit-il « le secteur est marqué par la transition vers la Télévision numérique Terrestre, l’opérationnalisation du fonds d’appui à la presse privée et la recherche de ressources financières pour la réalisation des plans stratégiques de développement de l’ISTIC, de la RTB et des Editions Sdiwaya.

«Nous devons prendre toujours de nouvelles initiatives pour mettre en œuvre des actions novatrices et audacieuses à même d’apporter des solutions durables aux préoccupations des populations en matière de communication » a-t-il indiqué.

A l’en croire, les projets de rapports d’activités 2016 et de programme d’activités 2017, les présentations et les échanges permettront de baliser le terrain et de mieux orienter les priorités en 2017.

Agence d’Information du Burkina

als/ata