Au Burkina Faso s’est ouvert mardi 20 décembre le procès de militaires de l'ex-Régiment de sécurité présidentielle. Les 29 personnes, parmi lesquelles deux civils, sont accusées d'avoir planifié en décembre 2015 une attaque de la maison d'arrêt et de correction des armées afin de libérer les généraux Gilbert Diendéré, Djbrill Bassolé et les militaires incarcérés dans le cadre de l'enquête du putsch de septembre 2015. A l'ouverture du procès, les avocats de la défense ont demandé son report afin de mieux s'imprégner du dossier.
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