Les journaux burkinabè de ce vendredi, ont rendu compte de l’actualité nationale relative à la politique marquée par le front social, ainsi qu’à la sécurité et à l’incivisme, objet d’une conférence de presse, la veille à Ouagadougou.
«Lutte contre l’incivisme: le point des actions gouvernementales», titre à sa Une, le quotidien national Sidwaya qui informe que le ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité intérieure, Simon Compaoré, a fait face à la presse, le jeudi 3 novembre 2016 à Ouagadougou, le point des actions gouvernementales contre l’incivisme depuis cinq mois.
A ce sujet, Aujourd’hui au Faso titre: «Lutte contre l’incivisme routier: Plus de 100 millions de FCFA récolté».
Selon ce journal, deux points essentiels ont été abordés lors de la conférence de presse animée à Ouagadougou, par le ministre Simon Compaoré.
« Il (le ministre) a aussi évoqué, comme note positive dans le domaine de la lutte contre l’incivisme, l’encaissement au profit des budgets de l’Etat et des collectivités territoriales de 101 millions 628 mille francs CFA », relate le journal.
Et Notre Temps, un autre quotidien privé de préciser: «Plus de 101 millions de FCFA de recette en moins de quatre mois».
En politique, Aujourd’hui au Faso revient sur le présumé coup d’Etat déjoué du 8 octobre dernier en arborant à sa Une: «François Compaoré rompt le silence».
A lire l’article, François Compaoré, frère cadet de l’ancien président Blaise Compaoré a produit un droit de réponse à Jeune Afrique (JA) au sujet des accusations relatives à son implication présumée dans la déstabilisation du Burkina.
L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso aborde le sujet dans sa rubrique «Une lettre pour Laye », à travers l’article intitulé: «François Compaoré répond à JA».
De son côté, le quotidien Les dernières nouvelles du Faso (DNF) évoque le sit-in des médecins pendant que le président du Faso avait appelé à l’accalmie du front social, se demandant: «Roch a-t-il prêché dans le désert ?».
Parlant de front social, L’Express du Faso, quotidien imprimé à Bobo-Dioulasso (deuxième ville du Burkina Faso), donne la parole à un leader de la société civile et du monde paysan, François Traoré qui déclare à la Une du journal: «Ce que je pense des grève au Burkina Faso».
ALK/od/APA