Deux ans après l'insurrection populaire qui a fait chuter Blaise Compaoré et son régime, les 30 et 31 octobre 2014, plusieurs ex-dirigeants font l'objet de procédures judiciaires pour leur rôle présumé dans la répression meurtrière des manifestations. Jeune Afrique fait le point.
L’ancien président burkinabè est sans surprise cité dans la procédure ouverte par la Haute cour de justice sur la répression de l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014, durant laquelle une trentaine de manifestants ont été tués par les forces de l’ordre. Sa responsabilité dans la mort de ces individus est notamment engagée en tant que ministre de la Défense, fonction qu’il cumulait alors avec celle de Chef de l’État.
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