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Thomas Sankara et politique se partagent la Une des quotidiens burkinabè
Publié le lundi 17 octobre 2016  |  Agence de Presse Africaine
Une
© Autre presse par DR
Une vue des unes de journaux burkinabè en langues nationales




Les quotidiens burkinabè ont évoqué ce lundi divers sujets avec un accent particulier sur la politique et sur Thomas Sankara dont on vient de commémorer le 29e anniversaire du décès.

«15 octobre : une seconde commémoration sans les restes de Thomas Sankara», arbore à sa Une, Notre Temps qui renseigne que le 29e anniversaire de l’assassinat du Conseil national de la révolution (CNR), Thomas Sankara a eu lieu samedi dernier.

Le journal relève que l’un des faits marquants de cette commémoration est qu’il n’y a pas eu de recueillement, ni de dépôt de gerbes de fleur sur la tombe de l’ancien président burkinabè pour la simple raison que le corps a été exhumé depuis fin mai 2015, à des fins d’expertises.

De son côté, le quotidien Les Dernières nouvelles du Faso (DNF) affiche: «29e anniversaire du décès de Thomas Sankara: Cette commémoration en rangs dispersés qui ne s’explique pas».

DNF parle également de «le Balai citoyen (mouvement de la société civile, Ndlr) demande justice pour Thomas Sankara».

A ce sujet, Le Pays mentionne: «Le Balai citoyen interpelle les acteurs judiciaires».

Le quotidien national Sidwaya abonde dans le même sens en citant les propos de l’un des acteurs de premier rang de la commémoration, Alphonse Ouédraogo qui estime que «l’arbre du mémorial ne doit pas cacher la forêt de la justice non encore rendue».

Quant à L’Express du Faso, quotidien imprimé à Bobo-Dioulasso, la 2e ville du Burkina Faso, il reprend à sa Une les propos de Valère Somé, un des compagnons du feu président Sankara qui dit: «Si Thomas Sankara était vivant, il allait dire qu’il n’est pas sankariste».

En politique, Sidwaya revient sur la rencontre internationale tenue à Lomé, au Togo, sur la sécurité et la sureté maritime en Afrique à laquelle le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré a pris part.

Le journal reprend en titre les propos du président Kaboré qui déclare que «le Burkina Faso est partie prenante» de la convention signée à cet effet.

Pour sa part, Aujourd’hui au Faso évoque une autre rencontre internationale, à Bruxelles en Belgique, où le Burkina Faso était présent, renseignant que «le Burkina se vend bien, malgré tout».

ALK/od/APA
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