Les journalistes burkinabé à travers leurs organisations professionnelles ont accusé, jeudi 21 juillet, les nouvelles autorités d'ingérence dans le traitement de l'information par les chaînes publiques. Le gouvernement n'a pour l'heure pas réagi.
C’est l’un des points sur lesquels, les nouvelles autorités burkinabé étaient attendues : la question de l’indépendance des médias publics. Longtemps accusés, notamment sous le régime de Blaise Compaoré, d’être à la solde du gouvernement, les médias publics avaient réussi à gagner une certaine crédibilité aux yeux de l’opinion nationale sous la transition. Mais depuis l’élection du président Roch Marc Christian Kaboré, des divergences sont à nouveau réapparues entre les organisations professionnelles des journalistes et les autorités sur la gestion des chaînes publiques.
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