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Trois policiers tués dans l’attaque d’un commissariat près de la frontalière malienne (Officiel)
Publié le mercredi 1 juin 2016  |  Agence de Presse Africaine
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© aOuaga.com par Séni Dabo
Administration territoriale, décentralisation et sécurité intérieure : le ministre Simon Compaoré expose ses priorités
Jeudi 4 février 2016. Ouagadougou. Hôtel de ville. Le ministre d`Etat, ministre de l`Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité intérieure, Simon Compaoré, a animé une conférence de presse pour exposer ses priorités




Trois policiers burkinabè ont été tués, la nuit dernière, à Intangom, dans la région du Sahel du Burkina Faso (près de la frontière malienne), suite à l’attaque d’un commissariat par des individus non encore identifiés, a annoncé mercredi, le ministre en charge de la Sécurité intérieure, Simon Compaoré.

Selon le ministre Compaoré qui devrait se rendre sur les lieux, situés à plus de 500 kilomètres au Nord de Ouagadougou, l’attaque a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi entre 22 heures et 23 heures.

Simon Compaoré s’exprimant sur le sujet, a estimé qu’il s’agit d’une nouvelle très triste, précisant que l’hypothèse d’une attaque terroriste n’est pas à écarter.

Des commissariats de police ont été la cible d’attaques ces dernières semaines au Burkina Faso.

Ainsi, le Commissariat de police de Koutougou, toujours dans la région du Sahel, a fait l’objet d’une attaque dans la nuit du 17 mai 2016 faisant deux blessés parmi les policiers et des dégâts matériels.
Le ministre de la sécurité intérieure Simon Compaoré avait conclu à un attentat terroriste.

Un autre commissariat avait été victime d’une attaque similaire perpétrée par quatre individus à motos, le 10 mai 2016 à Loropéni dans le Sud-ouest du Burkina.

Le 15 janvier 2016, un couple australien, le Dr Kent Elliott et sa femme avait été enlevés précisément à Djibo, à l’extrême Nord du pays. Mme Elliott sera libérée quelques jours plus tard au Niger, alors que son époux est toujours entre les mains de ses ravisseurs.

Le même jour, une attaque terroriste revendiquée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), a fait une trentaine de morts dans la capitale Ouagadougou.


ALK/of/APA
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