Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratiques    Le Burkina Faso    Publicité
aOuaga.com NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Burkina Faso : liberté provisoire pour le chef du parti de l’ex-président
Publié le mardi 31 mai 2016  |  Xinhua
Requête
© aOuaga.com par Séni Dabo
Requête contre le nouveau code électoral : la décision de la CEDEAO expliquée aux journalistes
Mercredi 15 juillet 2015. Ouagadougou. Siège du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP). Les avocats du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir) et alliés signataires de l`appel du 9 avril 2015 ont animé une conférence de presse sur la décision de la Cour de justice de la CEDEAO ordonnant au Burkina de lever les obstacles empêchant des membres de l`ex-majorité présidentielle de se présenter aux élections générales d`octobre prochain. Photo : Eddie Komboïgo, président du CDP




Le chef du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir) Eddie Constance Komboïgo, incarcéré en janvier dernier pour son implication présumée dans le putsch raté du 16 septembre 2015, a bénéficié d’une liberté provisoire, a rapporté lundi la presse locale, en citant le président par intérim du CDP, Achille Tapsoba.
M. Komboïgo avait été inculpé pour "attentat à la sûreté de l’Etat, complicité d’assassinat, complicité de coups et blessures volontaires, complicité de dégradation aggravée de biens publics et privés".
Plusieurs autres membres du CDP, dont le vice-président du CDP, Léonce Koné, ont aussi été inculpés dans l’affaire du coup d’Etat.
Le 16 septembre 2015, des soldats proches de l’ancien président Blaise Compaoré ont perpétré un coup d’Etat sous la conduite du général Gilbert Diendéré.
Après avoir renversé brièvement le régime de transition, ils seront défaits par une résistance populaire.
Les généraux Gilbert Diendéré, ancien bras droit de Compaoré, et Djibrill Bassolé, ex-chef de la diplomatie de Compaoré et une quarantaine d’officiers militaires ont été incarcérés dans une prison à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso. F


Articles associés

     
Commentaires