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L’Observateur N° 8405 du 28/6/2013

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La grossesse litigieuse des gendarmettes
Publié le lundi 1 juillet 2013   |  L’Observateur




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Cher Wambi,

La daba, rouillée, accrochée à l’épaule gauche, ton oncle Tiraogo souffrait le martyre au milieu de son champs désespérément désert. Combien sont-ils, ceux comme lui, qui refusent de se rendre à l’évidence ?
Pas le moindre semi qui sorte de terre en cette fin du mois de juin, c’est, sauf erreur ou omission, une première au cœur même du pays des hommes intègres.

La campagne agricole tiendra-t-elle toutes ses promesses ?
Alors que je m’interrogeais, cher cousin, les hirondelles venaient d’entamer leur coutumière parade au-dessus de la capitale, couverte de gros nuages noirs, signes avant-coureurs d’un imminent orage.
Et ce jeudi 27 juin enfin, le ciel n’a pas osé nous trahir, car, au moment même où je m’apprêtais à conclure la présente que tu as entre les mains, il tombait des hallebardes sur “Marinland”.
Pourquoi donc te priver des nouvelles fraîches de la cité ?
Mais avant de me livrer à cet exercice, voyons très rapidement les relevés pluviométriques de la semaine du jeudi 20 au mercredi 26 juin 2013, que nos fidèles partenaires de l’ASECNA m’ont fait parvenir :
Dori = 24,3 mm ; Ouahigouya : 25,4 mm ; Ouagadougou-aéro : 2,1 mm ; Dédougou : 52,5 mm ; Fada N’Gourma : 0 mm : Bobo-Dioulasso = 12,5 mm ; Boromo = 57 mm ; Pô = 0,1 mm ; Gaoua = 36,9 mm ; Bogandé = 3,5 mm.

S’il est des producteurs qui, de nos jours, ont le sourire aux lèvres, c’est bien nos cotonculteurs, qui n’ont pas encore fini de brasser les espèces sonnantes et trébuchantes de leur labeur.
Dans l’empire de Jean-Paul Sawadogo, tout semble enfin baigner après la traversée du désert, et comment !
Le 70e Conseil d’administration de la Société des fibres textiles du Burkina Faso s’est tenu le 24 juin 2013 à Bobo, suivi de l’assemblée générale des actionnaires. Il a examiné et approuvé les résultats physiques et financiers de l’exercice 2012.
Du point de vue opérationnel, la campagne 2012-2013 s’est soldée par une production de coton graine de 465 000 t, soit 40% de progression par rapport à la campagne 2011-2012. La production nationale du Burkina a été de 630 000 t de coton graine, ce qui a fait de notre pays le premier producteur africain de coton. Du point de vue financier, l’exercice 2012 s’est soldé par un résultat net bénéficiaire de 5,18 milliards F CFA. Ces performances, saluées par le conseil d’administration, sont dues, d’une part, à la confiance retrouvée avec les producteurs et l’ensemble des acteurs de la filière coton, et, d’autre part, aux efforts d’organisation et de gestion de la Direction générale. En effet, il faut rappeler que la zone SOFITEX a souffert d’une crise sans précédent en 2011, qui a mis en difficulté la filière coton du Burkina.
L’initiative de l’organisation et de la tenue de la première édition de la Nuit du coton le 15 juin 2013 sous la présidence effective du Premier ministre, Luc Adolphe Tiao, pour récompenser les meilleurs producteurs, les meilleurs groupements de producteurs, les travailleurs méritants (distinctions honorifiques de dix travailleurs et de dix producteurs) va certainement contribuer à des résultats encore performants pour les campagnes à venir si Dame Nature est au rendez-vous. La nuit du coton est une première qui a connu une participation et une adhésion massives des acteurs avec une Maison de la culture qui a refusé du monde (1 500 places de capacité). 147 millions de F CFA ont été distribués sous forme de prix aux producteurs avec en sus des équipements agricoles et des infrastructures de production. Le premier producteur a reçu un tracteur muni d’une charrue d’un montant de neuf millions de F CFA (je vois les Saponniens se ruer sur les dabas, mais attention). Les prix ont été entièrement pris en charge par les partenaires de la SOFITEX. Un acte majeur a été la reconnaissance de l’action des anciens DG par une remise de cadeaux à chacun d’eux.
Quelqu’un qui doit être certainement content, c’est le Président du Faso, lui qui, dès 1995, a parcouru tout le Burkina pour la promotion de la culture du coton alors que beaucoup étaient incrédules, sinon qu’ils le prenaient pour un fou.
Tournons cependant la page, cher Wambi, pour dire que la chose politique nationale reste divisée sur la question du Sénat, objet depuis des mois de grand-messes qui se succèdent dans les deux camps.
Car, si pour le parti au pouvoir et ses satellites, rejeter ce bébé de la république est anticonstitutionnel, l’opposition, quant à elle, ne manque point d’arguments pour le vouer aux gémonies.
C’est pourquoi elle a décidé de donner une fois de plus de la voix à travers ce rendez-vous national donné à ses militants pour dire non à la politique du pouvoir de la IVe République, au Sénat, à la modification de l’article 37, à la vie chère, au chômage des jeunes, à l’augmentation du prix du gaz, à la misère des étudiants, à la corruption, à l’insécurité, aux mauvaises conditions de travail et au pouvoir à vie.
Le chien aboie, la caravane passe, semble dire le conseil des ministres, qui y a répondu par la convocation du corps électoral le 28 juillet 2013 pour l’élection des trente-neuf (39) sénateurs représentant les collectivités territoriales.
Maintenant la question que plus d’un se posent au cabaret de ta tante Pogbi, c’est de savoir si l’opposition, après avoir peint le Sénat en noir, y présentera des candidats.
Dans l’attente, certains ont renoué avec leur sport favori, les intrigues, et je ne t’en dirai pas plus.

Dans ma dernière lettre, il était question d’informations relatives au départ de l’ambassadeur de France au Burkina, Emmanuel Beth. Ces infos tendent à présent à se confirmer, puisque le nom de son remplaçant est connu ; il s’agit de Gilles Thibault (54 ans et qui est, de nos jours, directeur adjoint du Service des immeubles et de la logistique au Quai d’Orsay). Il s’occupe notamment d’un vaste programme qui a pour nom Plan d’administration exemplaire (PAE), dont l’objectif principal est la modernisation de ce ministère.
En outre, Gilles Thibault est le sous-directeur des services centraux au Quai-d’Orsay.
Il ne reste plus que le Burkina renvoie les lettres d’accréditation de Gilles Thibault pour qu’administrativement, la boucle soit bouclée.
Quant à l’ambassadeur Emmanuel Beth, il était arrivé au Faso en septembre 2010 et quittera notre pays après avoir accompli la mission à lui confiée par l’Elysée.
Restons toujours sur le même registre pour évoquer l’éventuelle fin de mission d’un autre ambassadeur, celui des USA : Thomas Dougherty, qui aurait, selon certaines informations, fini d’exécuter son job au Burkina.

Cher Wambi, c’est une affaire qui n’a pas fait grand bruit, pourtant elle est une première qui pourrait faire jurisprudence dans l’application du règlement régissant le personnel féminin des Forces armées nationales (FAN) burkinabè. De quoi s’agit-il ? Courant 2011, deux femmes gendarmes sont tombées enceintes. Lorsque leur état a été connu de la hiérarchie, le couperet est tombé : un arrêté du ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants, qui est, rappelons-le, le président Blaise Compaoré, les a, sans autre forme de procès, radiées des effectifs de l’armée, la gendarmerie relevant, comme on le sait tous, du ministère de la Défense. Cette fatwa leur a été appliquée en vertu des dispositions du Règlement de discipline générale des FAN dont l’article 86 traite des cas de ce genre.
Ledit article, qui comprend trois points, dispose que :
1. Le personnel militaire du sexe féminin qui contracte une grossesse pendant une formation est :
- renvoyé du centre de formation ou de l’école ;
- radié des FAN s’il provient d’un recrutement par concours direct.
2. Les militaires du rang du sexe féminin qui contractent une grossesse avant le délai de six (06) ans sont d’office radiés des contrôles des FAN.
Pour les sous-officiers féminins, dont le recrutement procède d’un concours direct d’élèves sous-officiers, le délai est de trois (03) ans.
C’est la disposition portant sur les sous-off en jupons qui a été appliquée à nos deux «gendarmettes». Recrutées en 2007, la première avait fini sa formation en 2009 tandis que la seconde, elle, a quitté l’école en 2010. Les deux sont tombées enceintes en 2011.
Estimant avoir été sanctionnées à tort, car elles soutiennent avoir épuisé les trois ans de rigueur, elles ont, cher cousin, porté plainte pour demander l’annulation des arrêtés de radiation qui les frappe. S’en est suivie une bataille judiciaire devant le juge administratif. En première instance, les “pandoresses” ont eu gain de cause ; le tribunal, qui a interprété les textes en leur faveur, a ordonné l’annulation des arrêtés de radiation ; en clair, il est demandé à la gendarmerie de reprendre les deux jeunes filles dans ses rangs. Ce verdict a été confirmé en appel il y a à peine deux semaines. Y aura-t-il un pourvoi en cassation ou pas ? On ne le sait trop pour l’heure.
Par contre, ce qui est certain, c’est que c’est la stupéfaction chez les Pandores, qui avouent ne pas comprendre un tel jugement. Pour eux, c’est bien après la formation qu’on est sous-officier et, par conséquent, le décompte des trois ans ne commence qu’à la sortie de l’école de formation. Selon toute vraisemblance cependant, cet argument n’a pas fait mouche.
Du coup, du côté de Paspanga, on s’inquiète surtout des conséquences d’un tel verdict, qui risque, dit-on, jurisprudence faisant, d’encourager d’autres éléments du personnel féminin à suivre l’exemple des deux «gendarmettes». En effet, les Pandores estiment qu’après la formation, le gendarme (fille comme garçon) est au bas de l’échelle et est donc celui qui est au cœur même des activités physiques (maintien de l’ordre, interventions, etc.) et que, si une d’eux contractait une grossesse, elle ne pourrait plus accomplir convenablement ces dures tâches.
Rappelons d’ailleurs que cette question de période de non-grossesse avait été soulevée par le personnel féminin militaire qui, lors des rencontres avec le président du Faso par suite des mutineries de 2011, avait sollicité la réduction des délais réglementaires.
Cher Wambi, je suis d’ailleurs curieux de savoir si les auteurs de ces “précieux colis” que portent les jeunes femmes en uniforme sont, eux aussi, de la maréchaussée, auquel cas il va falloir construire des maternités dans les brigades de recherches.

En se rendant à l’aéroport international de Ouagadougou le samedi 22 juin dernier, Abdoulaye Silga, ouvrier à l’entreprise BTS, ignorait certainement qu’il avait rendez-vous avec la mort, cher cousin. Et la macabre scène qui s’est jouée ce soir-là est digne de questionnements : en grimpant sur le géant panneau publicitaire planté devant le Salon d’honneur pour effectuer des travaux de soudure, ce jeune homme de 37 ans était-il muni d’équipements élémentaires de sûreté ?
A l’instar de Tipoko l’Intrigante, qui reste interdite et dont je m’en vais t’ouvrir le carnet secret, cher Wambi, je suis tenté d’y répondre par la négative, vu que Abdoulaye Silga a perdu la vie après avoir été électrocuté.
A qui la faute, me demandes-tu ?
La réponse des enquêteurs se fait toujours attendre.

- Encourager les jeunes Burkinabè qui ont de l’audace et forcent la réussite, c’est sur cette voie que s’est désormais engagé le Premier ministre. Avec quelques membres de son gouvernement, Luc Adolphe Tiao est allé, en effet, rendre visite au promoteur de Yhely technologie, le Dr Biyen Béli. Il a ainsi touché du doigt les réalités de l’usine de fabrication de pavés à la périphérie sud-est de Ouagadougou. Ayant constaté qu’une telle unité peut recruter jusqu’à 3 000 personnes si le marché existe, Luc Adolphe Tiao a félicité ce jeune promoteur dynamique pour son ardeur au travail. “Nous trouverons des solutions pour développer, apporter notre appui à ce secteur qui peut contribuer à l’embellissement de nos villes, au renforcement des voies de communication que nous bâtissons”, lui a-t-il assuré. Voilà une nouvelle qui rejouira plus d’un !
Reste à souhaiter qu’après un tel évangile, Luc passe aux actes.

- De nombreux usagers de la route nationale n°1, en voiture personnelle ou en transport en commun, ont été surpris ces jours-ci à l’entrée de Ouagadougou : en effet, des agents des forces de sécurité, en poste sur la voie et équipés d’un radar, rappelaient systématiquement aux conducteurs que la vitesse en agglomération est de 50 km/h ; une bonne chose au regard des accidents et surtout du nombre des victimes dans la capitale.
Les chauffeurs pris en flagrant délit d’excès de vitesse ont été sommés de verser une somme forfaitaire avant de récupérer les papiers de leurs véhicules, et l’argent, versé sans reçu en retour finissait dans le sac d’un des agents. Quel montant peut-être récolté par jour ? Où vont ces billets de banque ? Voilà autant de questions sans réponses qui amènent les conducteurs faux-types à se demander s’il n’ont pas été grugés.

n Voilà déjà un trimestre que les différents arrondissements de communes de Ouagadougou sont installés. Certains d’entre eux développent des initiatives pour répondre aux attentes de leurs mandants. C’est le cas du maire de l’arrondissement n°2, Hamidou Simporé, qui a pu obtenir auprès de ses amis 50 bourses d’études au profit des étudiants de sa circonscription. Si le mode d’attribution n’est pas encore défini, il est évident qu’elles vont échoir aux plus méritants.
Avis donc aux étudiants en BTS, Licence et Master des secteurs 7, 8, 9, 10 et 11 de Ouagadougou.

- Lors de la célébration du 11 décembre 2012 à Koudougou, la contribution des forces vives de la région du Centre-Ouest avait été souhaitée et fortement encouragée par le gouvernement. Celles-ci avaient, en effet, bénéficié de terrains sur lesquels elles ont construit des villas de grand standing, appelées Cité des forces vives. Bien que le contrat ait été rempli par les forces vives, c’est aujourd’hui la croix et la bannière pour elles pour obtenir leur permis urbain d’habitation (PUH). Alors que le 15 janvier dernier, les autorités leur assuraient qu’elles instruiraient avec diligence les différentes services techniques concernés de remettre aux intéressés dans les meilleurs délais leur précieux “sésame”. Six mois après, c’est toujours le statu-quo si bien que certains, ne sachant plus à quel saint se vouer, pensent qu’ils sont tout simplement balladés, surtout après le démantèlement d’un réseau de dealers qui avaient fait de la vente des parcelles leur sport favori. Ils en appellent donc au Premier ministre, Luc Adolphe Tiao.

- Le chômage est un véritable cauchemar pour la jeunesse, toujours prête à braver les contraintes afin d’obtenir du travail. Elle postule au moindre recrutement quand bien même ses chances de succès seraient très minces. Ne dit-on pas cependant que l’espoir fait vivre ? Le recrutement de 44 employés (40 agents et de 4 contrôleurs des services postaux), lancé le 21 juin dernier, en est la parfaite illustration. Beaucoup d’appelés mais très peu d’élus. Ils étaient, en effet, plusieurs centaines de jeunes ce jour-là devant la SONAPOST pour, disent-ils, tenter leur chance. Il fallait vraiment être un sacré parieur pour postuler tant les files étaient longues contre des chances de succès très minces.

- “Le bar du maire” a pris feu. Pour ceux qui ne le savent pas, c’est le complexe ludique propriété du maire de d’arrondissement, Pascal Tiga Ouédraogo. Dans la nuit du mercredi 26 au jeudi 27 juin 2013, le niveau supérieur de ce complexe, précisément la boîte de nuit, a été en proie aux flammes. C’est aux environs de 22 heures, pendant le délestage de la SONABEL dans la zone (Ndlr : le bar du maire est situé à Kilwin sur l’axe Ouaga-Ouahigouya), que l’incendie a été constaté. Un groupe électrogène, à ce qu’il nous revient, alimentait le bar, situé au rez-de-chaussée, alors que la boîte de nuit à l’étage était fermée. Etrangement pourtant, c’est la partie supérieure de l’immeuble, qu’on n’ouvre que les vendredis, samedis et dimanches, qui a pris feu. En attendant de connaître les circonstances de l’incendie, certains habitants des alentours espèrent une accalmie des nuisances sonores nocturnes.

- Et on reparte de l’insécurité sur les grands axes du Burkina. Les bandits de grand chemin n’arrêtent pas de se signaler çà et là, semant la terreur au sein des populations. Ces derniers temps, ils se sont manifestés à un jet de pierre de Bittou. A ce qu’on dit, les malfrats, munis d’armes de guerre, tiraient en plein jour comme au Far- West. On ignore pour le moment quel sort a été réservé aux indélicats. En tous les cas, ils finiront par être appréhendés. En attendant, beaucoup reste à faire pour sécuriser les voies et assurer la quiétude des populations.

- Membre permanent de la Confédération africaine de football (CAF), François Compaoré est monté en grade dans l’institution qui régit le football africain : en effet, il en est désormais le vice-président chargé des textes et règlements ; un galon de plus pour le Burkina, vice- champion d’Afrique en foot, qui voit ainsi le président d’honneur de l’USSU-BF gravir un échelon.

- Le 13 mars 2013, Jorge Maris Bergoglio a été élu 266e pape après Benoît XVI sous le nom de François. Pour célébrer l’élection du Souverain Pontife, Mgr Vito Rallo, Nonce apostolique, présidera une messe d’action de grâce le dimanche 30 juin 2013 à 9 heures.
A l’issue de cette célébration, qui aura lieu dans la cathédrale de l’Immaculée Conception de Ouagadougou, il sera servi un vin d’honneur dans le salon de l’ancien évêché, situé derrière la sacristie de la cathédrale.

- La clôture de l’année scolaire 2012-2013 interviendra le samedi 29 juin au complexe scolaire Marie Immaculée de Ouaga 2000. A cette occasion, la direction et le bureau des parents d’élèves organisent des festivités pour marquer l’événement. Au programme : de 8 heures à 14 heures, une messe de clôture, une remise de prix aux élèves méritants, une remise des résultats scolaires de fin d’année aux parents, une kermesse.

Tipoko l’Intrigante n’apprend rien d’elle-même, elle n’invente jamais rien. Tipoko l’Intrigante est un non-être. Elle n’est ni bonne en elle-même, ni mauvaise en elle-même. Elle fonctionne par intuition, car "l’intuition c’est la faculté qu’a une femme d’être sûre d’une chose sans en avoir la certitude..."

Ainsi va la vie.
Au revoir.

Ton cousin
Passek Taalé

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