Des coordonnateurs de projets face à Simon Compaoré

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Publié le vendredi 26 fevrier 2016 | Sidwaya

© aOuaga.com par Séni Dabo
Administration territoriale, décentralisation et sécurité intérieure : le ministre Simon Compaoré expose ses priorités
Jeudi 4 février 2016. Ouagadougou. Hôtel de ville. Le ministre d`Etat, ministre de l`Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité intérieure, Simon Compaoré, a animé une conférence de presse pour exposer ses priorités

Le ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité intérieure, Simon Compaoré a rencontré les coordonnateurs de projets de son ministère, le jeudi 25 février à Ouagadougou.

Le ministre de l’Administration territoriale, de la décentralisation et de la sécurité intérieure, Simon Compaoré, dans l’objectif d’une mise au point des projets et programmes de son ministère, a convié, le jeudi 25 février, leurs différents responsables à Ouagadougou. En effet, à travers cette rencontre, le ministre Compaoré s’est imprégné de l’état de mise en œuvre de tous les projets et programmes de son département. Par ailleurs, il a aussi pris connaissance et répertorié les Partenaires techniques et financiers (PTF) qui accompagnent ces projets. « Le secrétaire général et moi venons d’être affectés dans ce ministère. Nous avons besoin de connaître ce qu’il y a et ce qui se passe dans le ministère pour prendre des mesures afin d’aller rapidement vers les objectifs qui nous ont été assignés par nos supérieurs », a-t-il ajouté. Simon Compaoré a également affirmé que ces projets permettront de faire de la décentralisation une réalité en donnant la chance aux exécutifs locaux de faire des réalisations concrètes sur le terrain au profit des populations. Il a fait cas des élus des élections du 22 mai prochain qui auront les moyens nécessaires pour mettre en œuvre des projets de développement en matière d’assainissement de santé, d’éducation, etc. «Les différentes collectivités doivent être en mesure de mener ces projets dans leurs communes et régions pour que leurs populations se sentent mieux afin qu’il y ait un mieux vivre au Burkina Faso», a-t-il conclu.

Romaric ZOUBGA
(Stagiaire)