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Les Industries agro-alimentaires veulent une place idéale
Publié le jeudi 18 fevrier 2016  |  Sidwaya
Le
© Présidence par DR
Le Président Roch Marc Christian KABORE




Le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a reçu en audience ce jeudi 18 février 2016 à Ouagadougou, la fédération des industries agro-alimentaires et de la transformation du Burkina Faso.

Le président du Faso, Roch marc Christian Kaboré, poursuit ses consultations avec les acteurs des différents secteurs d’activités pour la mise en œuvre de son programme politique. A cet effet, il a reçu, ce jeudi 18 février 2016 à Kosyam, la fédération des industries agro-alimentaires et de la transformation du Burkina Faso. A sa sortie d’audience la présidente de la fédération, Simone Zoundi, a souligné que cette rencontre visait plusieurs objectifs.

« Nous sommes venus en délégation de la fédération des industries agroalimentaires pour présenter au chef de l’Etat notre structure et voir dans quel domaine de son projet de société, l’agroalimentaire pourrait occuper une place prioritaire», a-t-elle indiqué. Elle a affirmé que ce secteur est vital pour l’économie du Burkina Faso. Se référant aux pays industrialisés comme la France, elle a affirmé que l’agro-alimentaire est le premier secteur qui a un chiffre d’affaire important et qui crée des emplois.

De plus, elle a déclaré : « Nous avons voulu échanger avec le chef de l’Etat afin que dans son projet de société, nous puissions avoir la place idéale afin de développer véritablement ce secteur pour le bien de nos populations ». La présidente de la fédération, n’a pas manqué de faire cas des contraintes que subissent ce secteur. Il s’agit des fluctuations des prix des matières premières, les achats bords champs qui peuvent provoquer à certain moment des ruptures de stock, le problème de financement, les contraintes d’espaces, le manque de professionnalisme, les coûts des facteurs de productions comme l’eau et l’électricité.

Selon Mme Zoundi, tous ces aspects contribuent à retarder le développement de l’économie burkinabé. « Nous pensons que dans la marche pour un Burkina nouveau, nous pouvons ensemble développer ce secteur. Que nos populations ne connaissent plus la faim alors que nous avons tout ce qu’il faut pour aller de l’avant », a-t-elle soutenu.

Wamini Micheline Ouédraogo
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