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Cinq ex-gardes présidentiels burkinabè impliqués dans l’attaque du dépôt d’armes arrêtés à la frontière avec le Ghana
Publié le lundi 25 janvier 2016  |  Alerte Info
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© aOuaga.com par A.O
Prise de la caserne de l`ex-RSP : le président Michel Kafando rend visite aux "boys"
Mercredi 30 septembre 2015. Ouagadougou. Camp Naaba Koom II. Le président de la transition, président du Faso, Michel Kafando, a rendu visite aux "boys", les soldats loyalistes, qui ont donné l`assaut, la veille, à la caserne de l`ex-Régiment de sécurité présidentielle (RSP)




Cinq éléments de l’ex-garde de sécurité présidentielle burkinabè impliqués dans l’attaque du dépôt d’armes à la sortie Ouest de Ouagadougou dans le village de Yimdi ont été arrêtés et un tué dimanche après des échanges de tirs à la frontière avec le Ghana, selon une source sécuritaire à ALERTE INFO.



"Cinq des sept assaillants dont les photos ont été publiées (dans la presse) ont été arrêtés alors qu’ils tentaient de franchir la frontière avec le Ghana", a affirmé la source.



Lors de l’opération, "un des assaillants a ouvert le feu sur les forces d’intervention entrainant une riposte. Grièvement blessé, il a succombé à ses blessures lors de son transfert en hélicoptère à l’hôpital", a-t-elle poursuivi.



Ces éléments de l’ex-garde de sécurité présidentielle avaient été localisés dans le Centre, Centre-sud et Centre-ouest du pays, indique un communiqué du service de communication des armées transmis à ALERTE INFO dans la matinée du dimanche.



Samedi, dix éléments de l’ex-garde présidentielle et un religieux auteurs de l’attaque du dépôt d’armes de Yimdi ont été mis aux arrêts, avait confié le commandant Mahamadi Bonkoungou chef des opérations du centre inter-armées, face à la presse.



A ce jour un total de 16 personnes ont été arrêtés et une tuée à la suite de l’attaque du camp de Yimdi.



Selon le commandant Bonkoungou, il s’agissait d’une dizaine d’hommes armés qui ont attaqué vendredi le dépôt d’armes de Yimdi, un ex-camp de l’ex-garde de sécurité présidentielle blessant un des gardes du camp et "emporté quelques kalachnikovs dont certains ont été récupérés par la gendarmerie et l’armée de terre qui ratissent la zone".



DZO
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