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L’onde de choc dans la région après l’attaque jihadiste de Ouagadougou
Publié le lundi 18 janvier 2016  |  RFI
Attaques
© aOuaga.com par G.S
Attaques du Splendid et du Cappuccino : un spectacle de désolation dans le périmètre
Samedi 16 janvier 2016. Ouagadougou. Avenue Kwamé N`Krumah. Voitures calcinées, façades noircies, chaussée encombrée ... tel est le spectacle de désolation dans le périmètre de l`attaque contre l`hôtel Splendid et le café-restaurant Cappuccino après l`assaut




Solidarité, émotion et peur... L'attaque terroriste qui a fait 29 morts, vendredi soir, en plein centre de Ouagadougou, a ravivé l'inquiétude de la menace jihadiste dans les pays frontaliers du Burkina Faso et dans toute la sous-région. Tour d'horizon.

Côte d'Ivoire : la plus grande diaspora burkinabè
En Côte d'Ivoire, voisin du Burkina Faso, les attaques terroristes survenues à Ouagadougou ont été très suivies. D'autant que le pays abrite la plus grande diaspora burkinabè.

Les attentats au Burkina Faso ont longuement occupé les conversations en Côte d'Ivoire, même si la vie semble suivre son cours normal. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #YakoBurkina a été créé pour témoigner de la solidarité des Ivoiriens au peuple burkinabè.

Aujourd'hui, les Ivoiriens se disent inquiets de cette situation. « Ça fait peur. S’ils ont pu frapper au Burkina, s’ils ont pu frapper au Mali, on se dit pourquoi pas chez nous, confie Kezo Vrinsia, chargé de communication. On ne sait pas quelle sera la prochaine destination des jihadistes. »

►Attaque jihadiste à Ouagadougou: un air de déjà vu

Au sein de la communauté burkinabè vivant en Côte d'Ivoire, on se sent impuissant, surtout loin de chez soi. Les attaques sont encore très présentes dans les pensées et on prie pour que cela ne se reproduise plus. « On ne s’attendait pas à ce qu’un événement d’une telle violence survienne au moment où le peuple burkinabè a su maintenir la paix et l’ordre pour organiser des élections libres, transparentes et apaisées. C’est injuste, mais nous ne pouvons rien faire », regrette Mamadou Sanogo, président du Conseil national des Burkinabè de Côte d’Ivoire.
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