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Des offices religieux demandés par S.E.M. Michel Kafando pour commémorer l’indépendance du Burkina Faso
Publié le samedi 12 decembre 2015  |  Présidence
Religion
© aOuaga.com par S.A
Religion : les chrétiens prient pour la paix
Jeudi 5 septembre 2013. La maison du peuple. Organisé par l Évangéliste Emmanuel Sawadogo du centre international de mission de délivrance et d`intercession (CIMIDI) les chrétiens prierons pour la paix pendant trois jours




Le Président de la Transition, Président du Faso, S.E.M. Michel KAFANDO, a pris part dans la soirée du 11 décembre 2015, à une messe prononcée à la Cathédrale Centrale Notre Dame de l’Immaculée Conception de Ouagadougou par Son Eminence le Cardinal Philippe OUEDRAOGO, Archevêque de Ouagadougou.

La messe a été célébrée en présence de membres du gouvernement, de quelques présidents d’institutions et de fidèles croyants.

En dépit des nombreuses crises socio-politiques qu’il a traversées pendant la transition, le Burkina Faso est parvenu à organiser des élections libres, transparentes et démocratiques. Dans son message à la Nation à l’occasion du 55e anniversaire de l’accession à la souveraineté nationale et internationale, le Président Michel KAFANDO n’a pas hésité une seule fois à voir dans ce dénouement heureux, l’œuvre de la divine providence.

C’est sans doute dans cette conviction qu’il a demandé des prières qui ont été faites par toutes les confessions religieuses. Ces offices religieux se sont déroulés respectivement à la grande moquée du Mouvement Sunnite située à la Zone d’Activités Commerciales et Administratives (ZACA) pendant la prière de la mi-journée, à l’Eglise Centrale des Assemblées de Dieu à 16 heures en présence du Premier ministre Yacouba Isaac ZIDA et à la Cathédrale Centrale Notre Dame de l’Immaculée Conception à 18 heures.

Dans son homélie, le Cardinal Philippe OUEDRAOGO a demandé au seigneur de « continuer à veiller sur le Burkina et guider les autorités du pays dans la bonne prise des décisions au service des vaillantes populations ». Les différentes manœuvres qui ont entravé la bonne marche de la Transition ont été condamnées de nouveau. « Plus jamais de telles œuvres destructrices dans ce pays qui a tant souffert », a recommandé l’église.
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