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Putsch du général Diendéré : Léonce Koné et Hermann Yaméogo auditionnés
Publié le mercredi 7 octobre 2015  |  L`Observateur Paalga
Requête
© aOuaga.com par Séni Dabo
Requête contre le nouveau code électoral : la décision de la CEDEAO expliquée aux journalistes
Mercredi 15 juillet 2015. Ouagadougou. Siège du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP). Les avocats du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir) et alliés signataires de l`appel du 9 avril 2015 ont animé une conférence de presse sur la décision de la Cour de justice de la CEDEAO ordonnant au Burkina de lever les obstacles empêchant des membres de l`ex-majorité présidentielle de se présenter aux élections générales d`octobre prochain. Photo : Me Hermann Yaméogo, président de l`Union nationale pour la démocratie et le développement (UNDD)




De sources proches de la Commission d’enquête sur le putsch du 17 septembre 2015, Léonce Koné, deuxième vice-président du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), et Me Hermann Yaméogo, président de l’Union nationale pour la démocratie et le développement (UNDD), ont été entendus hier lundi 5 octobre dans le cadre de l’information judiciaire ouverte sur le coup d’Etat du général Gilbert Diendéré.


Dès l’annonce de la création du Conseil national pour la démocratie (CND) mettant fin au fonctionnement des organes de la Transition, Léonce Koné, au cours d’une interview accordée à France 24, a refusé de condamner le coup de force, estimant que l’acte du général Diendéré est la résultante des élections « qui n’ont pas été préparées dans un climat de consensus entre toutes les parties prenantes politiques ».

Deux jours après le rétablissement des institutions de la Transition, Léonce et Hermann Yaméogo, soupçonnés de complicité dans le putsch, ont vu leurs avoirs gelés par la justice.

Douze autres personnalités civiles et politiques ainsi que quatre partis politiques ont également été frappés par cette mesure judiciaire.

Dans un communiqué publié par le service d’information du gouvernement, l’on a appris que les éléments de la procédure d’information ouverte au cabinet d’instruction N°4 du tribunal de grande instance de Ouagadougou suite au coup d’Etat ont été transmis au tribunal militaire de Ouagadougou.





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