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Faits divers et médias au menu de la presse burkinabè
Publié le samedi 5 septembre 2015  |  Agence de Presse Africaine




Ouagadougou (Burkina Faso) -
La presse burkinabè a principalement évoqué ce samedi, l’adoption, la veille, par le Conseil national de la transition (CNT) de nouvelles lois relatives aux médias ainsi que des faits divers.

‘'Secteur 26 de Bobo-Dioulasso : La population dans la rue pour exiger la libération de son leader'', affiche à sa Une le journal Le Quotidien parlant d'une manifestation d'humeur dans la capitale économique du Burkina Faso.

Selon notre confrère, des habitants du secteur 26 de Bobo-Dioulasso ont manifesté, jeudi, pour exiger la libération de François Kaboré, responsable du Comité de cellule de veille pour la justice du lotissement (CCVJS) qui serait ‘'injustement emprisonné''.

Le même quotidien, le seul qui parait les samedis, publie une déclaration de l'Union des familles des martyrs de l'insurrection populaire (UFMIP) des 30 et 31 octobre 2014.

Dans l'écrit, les signataires se préoccupent du climat politique suite aux décisions du Conseil constitutionnel (CC) qui a invalidé certaines candidatures pour les prochaines élections.

‘'Nous invitons la jeunesse et les hommes politiques à se ressaisir pendant qu'il est encore temps'', ont averti les auteurs de la déclaration.

Pour sa part, le site d'information en ligne Burkina 24 revient sur l'adoption des lois portant sur les médias en renseignant que ‘'le vide juridique est comblé en ce qui concerne la presse en ligne‘'.
Le même journal en ligne informe que le projet de loi sur la presse écrite a été adopté ce 4 septembre 2015 par le Conseil national de la transition (CNT).

‘'Cette loi supprime les peines d'emprisonnement pour les fautes commises par les journalistes dans l'exercice de leurs fonctions'', rapporte Burkina 24 avant d'ajouter qu'à la majorité des votants, ‘'les députés de la transition ont décidé que les sanctions en cas de délits de diffamation seront désormais des amendes en lieu et place des peines privatives de liberté''.

Et de préciser que le montant prévu, à cet effet, va d'un million à cinq millions de FCFA et le fautif va écoper du double de la peine prononcée en cas de récidive.

A ce sujet, Lefaso.net, un autre média en ligne, fait savoir que ‘' la loi a été adoptée, mais les professionnels des médias sont tristes !‘'.

ALK/cat
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