Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratiques    Le Burkina Faso    Publicité
aOuaga.com NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article
Société

Quand la police ghanéenne confond Salif Kaboré à … Salif Kaboré!
Publié le vendredi 28 aout 2015  |  FasoZine
Burkina
© aOuaga.com par A.O
Burkina - Côte d`Ivoire : 28 accords de coopération signés
Jeudi 31 juillet 2014. Ouagadougou. Présidence du Faso. Les chefs d`Etat burkinabè, Blaise Compaoré, et ivoirien, Alassane Ouattara, ont tenu la 4e conférence au sommet pour la mise en oeuvre du Traité d`amitié et de coopération (TAC) Burkina - Côte d`Ivoire qui a été marquée par la signature de 28 accords et protocoles d`accord. Photo : Lamoussa Salif Kaboré, ministre des Mines et de l’Energie du Burkina




Un Salif Kaboré peut en cacher un autre. C’est la conclusion de la radio Ouaga FM après la brève interpellation d’un de ses journalistes en mission au Ghana, et qui a le malheur de s’appeler Salif Kaboré. Exactement comme l’ancien ministre des Mines, mis en accusation par la Haute cour de justice et qui est introuvable.

« Il est parti en mission officielle. Il a été retenu pendant près de trois à quatre heures par la police », a confié à Fasozine le directeur de la rédaction de la radio où le journaliste est employé, joint au téléphone. Les policiers ghanéens lui ont dit qu’un avis de recherche de Interpol Burkina a été lancé pour retrouver un certain Salif Kaboré ».

Le journaliste a fini par retrouver sa liberté de mouvement, mais son passeport de service et son ordre de mission sont toujours aux mains de la police. « Ils vont certainement les lui rendre ce soir », espère son collègue.

Le Salif Kaboré recherché par Interpol serait-il Salif Lamoussa Kaboré, l’ancien ministre de l’Energie et des Mines qui resterait introuvable depuis sa mise en accusation par la Haute cour de justice ? Pour les collègues du journaliste, il pourrait s’agir d’une confusion.

A noter que trois autres anciens ministres du dernier gouvernement de Blaise Compaoré, eux aussi mis en accusation devant la Haute cour de justice sont eux à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou.
Commentaires

Sondage
Nous suivre

Nos réseaux sociaux


Comment