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Un émissaire du Secrétaire Général de l’ONU en visite au Conseil Constitutionnel
Publié le jeudi 27 aout 2015  |  FasoZine
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© Autre presse par DR
Un émissaire du Secrétaire Général de l’ONU en visite au Conseil Constitutionnel




Le Secrétaire Général adjoint des affaires politiques de l’ONU, Jeffrey Feltman à la tête d’une délégation était en visite au Conseil constitutionnel ce mardi 25 août 2015.
Après les salutations d’usage, l’hôte du jour a situé l’objet de la visite au président du Conseil constitutionnel. Il a expliqué qu’au regard de l’importance des prochaines échéances électorales au Burkina Faso et du rôle important du Conseil constitutionnel dans la validation des candidatures aux élections législatures et présidentielle, il était indiqué qu’il lui apporte tout le soutien qu’il faut.

Selon M Feltmen, la Transition politique au Burkina doit être un exemple en Afrique. Il dit être venu au Conseil constitutionnel pour écouter et voir comment le processus électoral est conduit. L’envoyé spécial du Secrétaire Général de l’ONU a souhaité que le processus en cours soit inclusif pour faciliter le travail de la nouvelle équipe gouvernementale qui viendrait après les élections. Il a rassuré le Président du Conseil constitutionnel et son équipe de l’accompagnement des Nations-unies dans le sens de la réussite des élections.

Le Président du Conseil constitutionnel, a expliqué que le Conseil constitutionnel est une juridiction chargée de veiller au respect de la loi fondamentale et les textes de lois soient respectés. Il a exhorté ses hôtes à œuvrer pourque les acteursque sont les partis politiques et les organisations de la société civile aient confiance et respectent les décisions prises par le Conseil constitutionnel. Dans un Etat de droit, une juridiction ne peut être sous l’influence du politique. Il a jouté quele Conseil constitutionnel compte en son sein des membres intègres.

La quête d’institutions fortes suppose que le Conseil constitutionnel travaille sans injonction et sans pression. Il faut que les décisions soient acceptées par la majorité des Burkinabè, c’est le plaidoyer que le président du Conseil constitutionnel a fait à ses hôtes du système des Nations unies.

La Direction de la Communication et de la Presse
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