Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratiques    Le Burkina Faso    Publicité
aOuaga.com NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

La justice de la Cédéao se prononcera sur le code électoral du Faso
Publié le mercredi 1 juillet 2015  |  RFI
Réunion
© Autre presse par Primature du Sénégal/A. SECK
Réunion des ministres des affaires féminines et du Genre de la CEDEAO
Dakar, le 16 Janvier 2015 - La réunion des ministres des affaires féminines et du Genre de la CEDEAO s`est ouverte vendredi à Dakar. Prévue pour deux jours, cette rencontre porte sur le thème: "L’égalité des sexes et le développement durable". Elle a été présidé par le Premier ministre du Sénégal.




La cour de justice de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) rendra sa décision le 13 juillet dans l'affaire qui oppose l'Etat du Burkina Faso à l'ancienne majorité politique. La cour sous-régionale a été saisie par sept partis de l'ex-majorité présidentielle, ainsi que par 13 personnalités burkinabè. Les plaignants lui ont demandé de se prononcer sur le nouveau code électoral, qui exclut de la présidentielle et des législatives d'octobre les partisans du président déchu Blaise Compaoré.

Pour les plaignants, il y a danger à exclure des Burkinabè du processus électoral. Un danger pour la stabilité du Burkina et de la sous-région, assure Me Moussa Coulibaly, un des avocats de l'ex-majorité présidentielle, qui espère avoir été entendu mardi, lors d'une audience à Abuja, au Nigeria, en présence des deux parties.

« Nous avons bon espoir que la cour se déclare compétente, qu’elle déclare la demande de nos clients recevable et qu’elle fasse droit, entièrement droit, à leur prétention, à savoir l’abrogation de la modification de la Constitution qui exclut une partie de la population aux compétitions électorales », explique l'avocat.

Du côté de l'Etat burkinabè, on affiche une certaine sérénité à l'issue de la dernière audience. Car la discrimination n'est pas prouvée et les restrictions inscrites dans le code électoral sont bel et bien autorisées, assure maître Guy-Hervé Kam, avocat des autorités de transition :
... suite de l'article sur RFI

Commentaires