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Présidentielle au Burkina: en attendant le CDP et le MPP
Publié le mardi 30 juin 2015  |  FasoZine
Palais
© Autre presse
Palais présidentiel du Burkina Faso
Janvier 2010. Ouagadougou.




La liste des futurs candidats à la présidentielle d’octobre prochain au Burkina Faso s’allonge. Après Me Bénéwendé Sankara pour les sankaristes, Tahirou Barry du Parti pour la Renaissance (Paren), Adama Kanazoé de l’Alliance des jeunes pour l’indépendance et la République (Ajir), Jean-Baptiste Natama du Collectif Natama 2015, Ablassé Ouedraogo pour Le Faso Autrement, Djibrill Bassolé pour la Nouvelle alliance du Faso (Nafa) et un collectif de partis politiques et de mouvements de jeunes, Yacouba Ouédraogo pour l’Union pour un Burkina Nouveau, Victorien Tougouma pour le Mouvement africain des peuples (MAP), l’artiste musicien Seydou Zongo alias Zedess, l’opérateur économique Boukary Ouédraogo dit Tintin, c’est au tour de Françoise Toé du Parti pour la démocratie et le progrès/Parti socialiste (PDP/PS) et Zéphirin Diabré de l’Union pour la progrès et le changement (UPC), d’être investi par leur parti, le week-end dernier.

En attendant la liste complète des présidentiables d’octobre, l’ancien parti au pouvoir, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) et le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) annoncent l’investiture de leurs candidats pour les 4 et 5 juillet prochains. Un week-end politiquement chargé donc avec ces deux investitures qui s’annoncent tambours battants. Si du côté du MPP, «le cheval partant», sauf tsunami, est plus ou moins connu en la personne de Roch Marc Christian Kaboré, au CDP, les choses semblent moins claires.

La question ne trouve même pas réponse auprès du président du parti, Eddie Komboïgo. «C’est un point d’interrogation qui va de la terre jusqu’au ciel», affirme M. Komboïgo. Eddie la solution? «Non, c’est la jeunesse qui est la solution pour le CDP et le Burkina», se convainc Eddie Komboïgo.

Certaines langues parlent cependant de Kadré Désiré Ouédraogo, l’actuel président de la Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Ce dernier n’aurait toujours pas donné son accord. Mais sait-on jamais?

L’autre grosse pointure non moins attendue officiellement dans les starting-blocks de la présidentielle d’octobre 2015, c’est sans aucun doute Saran Séré Sérémé, la présidente du Parti pour la démocratie et le changement (PDC), qui rejoindra, pour le genre, Françoise Toé, la première femme à se porter candidate.

La Rédaction
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