FESPACO 2013 / Le Premier ministre au MICA : Des encouragements aux acteurs du cinéma #aOuaga

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FESPACO 2013 / Le Premier ministre au MICA : Des encouragements aux acteurs du cinéma

Publié le mercredi 27 fevrier 2013 | Sidwaya

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Fespaco 2013 : Le Premier Ministre Luc Adolf Tiao visite les stands
Mardi 26 février 2013. Ouagadougou. Le Premier Ministre Luc Adolf Tiao visite les expositions au siège du Fespaco

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- 25/2/2013

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Fespaco 2013

Le Premier ministre Luc Adolphe Tiao s’est rendu, le mardi 26 février 2013 à Ouagadougou, au Marché international du cinéma africain (MICA). A l’occasion, il a encouragé les producteurs, les réalisateurs et les artistes.

Interpelé par un confrère ivoirien, le Premier ministre, Luc Adoplhe Tiao a observé une « baisse » de la créativité au niveau du cinéma ivoirien mais estime que cette période est déjà dépassée. « Il y a eu certes une baisse de la créativité ces derniers temps, mais on sent qu’aujourd’hui, il y a une reprise », a expliqué le chef du gouvernement, en visite au Marché international du cinéma africain (MICA), organisé dans le cadre du FESPACO. Il dit avoir rencontré certains acteurs ivoiriens (Amélié Wabéi et Akissi Delta étaient sur place) qu’il a beaucoup admirés à travers leurs œuvres. « C’est très bon de les voir ici au Burkina Faso et on les encourage à continuer dans ce sens », a-t-il déclaré.
M. Tiao a expliqué l’objet de cette visite au MICA : « Je suis venu encourager les organisateurs du Marché international du cinéma africain (MICA) et saisir l’occasion pour encourager les artistes et les cinéastes », a confié le Premier ministre Luc Adolphe Tiao.
Il a affirmé avoir constaté à quel point, il y a de nombreuses productions au niveau des pays africains. Ainsi, le Premier ministre a tenu à féliciter tous ces créateurs qui font honneur au continent africain. Par ailleurs, il s’est dit satisfait de voir à la Télévision nationale du Burkina (TNB), ce « génie créateur », cette liberté de ton qu’ont les réalisateurs burkinabè à travers des fictions et des autres œuvres télévisuelles de qualité. « Il est de notre devoir de continuer à appuyer la télévision nationale, pour tout ce travail qui est fait », a-t-il ajouté.

Souleymane KANAZOE

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