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23è édition du FESPACO : Le clap d’ouverture donné par le Premier ministre en présence de la Marraine Chantal COMPAORE
Publié le lundi 25 fevrier 2013   |  Présidence


Culture:
© aOuaga.com par A.O
Culture: la 23edition du FESPACO ouvre ses portes
Samedi 23 février 2013. Ouagadougou (Burkina faso). Cérémonie d ouverture de la 23e édition du festival Panafricain du Cinéma de Ouagadougou (FESPACO). Présence remarquée du premier ministre Luc Adolphe Tiao De la première dame Chantal Compaoré


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Le Premier ministre, Monsieur Luc Adolphe TIAO, au nom du Président du Faso, a donné le samedi 23 février 2013, le clap d’ouverture de la 23è édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO).

La cérémonie qui a vu la présence d’un public des grands jours s’est déroulée au stade du 4 août, en présence de la Marraine, Chantal COMPAORE, Silvia BONGO, Première Dame du Gabon dont le pays est invité d’honneur de cette 23è édition, Irina BOKOVA, Directrice générale de l’UNESCO, des présidents d’institutions, des membres du gouvernement burkinabè et de nombreuses autres personnalités nationales et internationales.

La 23è édition du FESPACO, placée sous le thème « Cinéma africain et politiques publiques en Afrique», fait honneur cette année à la femme. C’est pourquoi, tous les films en compétition seront départagés par des jurys présidés tous par des femmes. De même, l’invitée d’honneur de cette 23è édition du FESPACO est Madame Alimata SALEMBERE, ancienne ministre burkinabè et pionnière du FESPACO.

A l’issue de la cérémonie d’ouverture riche en couleurs et en animations, le Premier ministre a affirmé que le thème de cette édition interpelle les pouvoirs publics : «Comment aider à relancer le cinéma africain. Plus que jamais, les Etats africains doivent mettre le cinéma au cœur de leurs priorités parce que nous constatons aujourd’hui que le cinéma africain a un peu reculé. Cela est due certainement à un problème de moyens et il faut que dans les politiques africaines, l’on puisse redéfinir les moyens nécessaires pour soutenir le cinéma africain parce qu’il est un facteur d’intégration, de promotion des droits humains. Nous devrons faire du cinéma, un véritable outil de développement et d’intégration de nos peuples », a affirmé Luc Adolphe TIAO.

La sélection officielle a retenu pour la présente édition, 169 films dont 101 films en compétition. Le Burkina Faso sera représenté à la compétition majeure, l’Etalon d’or de Yennenga avec le film «Moi Zaphira» de la réalisatrice Apolline TRAORE.


La Direction de la Communication de la Présidence du Faso

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