Ambassade du Bresil au Burkina Faso : Commémoration des 190 ans de l’indépendance du Brésil #aOuaga

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Ambassade du Bresil au Burkina Faso : Commémoration des 190 ans de l’indépendance du Brésil

Publié le mercredi 12 septembre 2012 | Le Pays

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Monsieur Santiago Alcazar Ambassadeur du Brésil au Burkina et le premier ministre Mr Luc Adolphe TiAO.

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Vendredi 7 septembre 1822, c’est à cette date que la République du Brésil a accédé à son indépendance. Comme partout où il y a une ambassade, la fête de l’indépendance du Brésil a été commémorée à la résidence de l’ambassadeur à Ouaga 2000 le 7 septembre dernier. Cette fête nationale a connu la participation des différents diplomates, des représentants d’institutions, des autorités du Burkina et d’amis.

7 septembre 1822-7 septembre 2012, cela fait 190 ans que le Brésil a accédé à l’indépendance, laquelle indépendance est commémorée ce vendredi 7 septembre 2012 dans l’enceinte de la résidence de l’ambassadeur, Santiago Alcázar, à Ouaga 2000. Chaque année, la commémoration de la date de l’indépendance tourne autour d’un thème et celui choisi cette année est : « Brésil, un pays d’opportunités », a souligné Santiago Alcázar. Selon le diplomate, la substance de ce thème réside dans trois mots qui sont, entre autre, « vers le port ». En effet, un vent opportun est non seulement celui qui mène au port, mais qui est aussi favorable parce qu’il nous amène à une rencontre désirée avec les autres, a-t-il renchéri. Dans son allocution, Santiago Alcázar a rappelé que le Brésil est une nation qui est construite dans la diversité et le peuple brésilien prend son destin en mains face à ce vent favorable qui souffle sur lui actuellement, a dit, en substance, l’ambassadeur. Ce thème, à en croire la représentant du pays de Lula au Burkina, est une projection qui s’articule autour des actions concrètes qui sont perceptibles. En parlant de « Brésil, un pays d’opportunités », l’ambassadeur fait référence à un Brésil qui « investit, appuie, promeut, valorise, encourage et respecte son peuple ». C’est également la quête permanente de la nation brésilienne favorisée par sa diversité car, pour lui, le peuple brésilien est conscient des difficultés du moment. « Nous savons aussi qu’un vent favorable nous ramènera à la rencontre, pour nous permettre d’épanouir, ensemble, les verbes d’action désirés par le Brésil et le Burkina Faso. » C’est par ces mots d’espoir de Santiago Alcázar que la fête a pris fin.

Masbé NDENGAR (Stagiaire)

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