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Tolérance zéro aux mutilations génitales féminines: Chantal Compaoré réaffirme son engagement…
Publié le vendredi 25 janvier 2013   |  Présidence


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© Présidence par DR
Jeudi 24 janvier 2013. Conference de presse animée par Première Dame du Burkina, Madame Chantal COMPAORE sur la nouvelle résolution adoptée par l’Assemblée Générale des Nations Unies.


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La Première Dame du Burkina, Madame Chantal COMPAORE, a animé une conférence de presse ce jeudi 24 janvier 2013 sur la nouvelle résolution adoptée par l’Assemblée Générale des Nations Unies portant sur «l’Intensification de l’action mondiale visant à éliminer les mutilations génitales féminines».

Cette résolution est le fruit de nombreuses années de plaidoyer et de sensibilisation faits par des activistes du monde entier, du continent africain spécifiquement pour lutter contre ce phénomène.

Chantal COMPAORE, en sa qualité d’Ambassadrice de bonne volonté du «Comité Inter-Africain sur les Pratiques Traditionnelles ayant effet sur la santé des femmes et des enfants», a assuré le rôle de Coordinatrice de la Campagne internationale pour son adoption.

«Mon engagement se justifie dans le fait que le continent africain est le principal concerné par la pratique des Mutilations Génitales Féminines. L’Afrique est également la première à avoir déployé d’innombrables efforts pour la protection des jeunes filles et des femmes victimes de ces pratiques néfastes, au nom d’une certaine tradition. Depuis 2003, cette partie du monde s’est dotée d’un instrument contraignant: le Protocole additionnel à la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples relatifs aux droits des femmes, dit Protocole de Maputo. Cet instrument juridique interdit les Mutilations génitales Féminines sur le continent africain», a expliqué la Première Dame aux journalistes.

Pour elle, une étape fondamentale est franchie avec l’engagement formel de l’ensemble des États membres des Nations Unies. La feuille de route se poursuivra avec les plaidoyers et des campagnes de sensibilisation au niveau des décideurs politiques pour une application systématique de cette résolution des Nations Unies. « Nous avons davantage besoin du soutien et de l’engagement de tous les partenaires internationaux, régionaux et nationaux pour atteindre le noble objectif de la tolérance zéro aux mutilations génitales féminines», a souligné l’Ambassadrice de bonne volonté.


La Direction de la communication de la Présidence du Faso

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