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Grève des Gardes de sécurité pénitentiaires au Burkina Faso
Publié le mercredi 11 mars 2015  |  Agence de Presse Africaine
Forces
© aOuaga.com par A.O
Forces paramilitaires : 1 126 nouveaux agents en renfort
Mardi 22 juillet 2014. Ouagadougou. L`Ecole nationale de police (ENP) a livré sa cuvée 2014 de 1 126 agents composés de policiers nationaux et municipaux, d`agents de la sécurité pénitentiaire au cours d`une cérémonie officielle de sortie de promotion placée sous le thème "Les forces de sécurité face au défi de l`évolution technologique"




Ouagadougou (Burkina) - Les agents de la Garde de sécurité pénitentiaire (GSP) du Burkina Faso observent un arrêt de travail pour exiger de meilleures conditions de travail et le respect des textes régissant leur corps, a-t-on appris mercredi de sources proches des grévistes.

Selon le secrétaire général du Syndicat national des agents de Garde de sécurité pénitentiaire (SYNAGSP), Hermann Bayala, qui s'est exprimé dans la presse sur la grève, la manifestation a député hier mardi.

A l'entendre, les grévistes conditionnent la reprise de leurs activités par la prise en compte effective de leurs revendications.

Pour le SG du SYNAGSP, les raisons de ce mouvement d'humeur résident dans le fait que des décrets pris antérieurement par le gouvernement, allant dans le sens de l'amélioration de leur condition de vie et de travail, n'ont toujours pas été appliqués.

Entre autres revendications, les grévistes veulent une réorganisation du corps, l'amélioration des grilles indemnitaire et salariale des agents GSP, de même que le prolongement de l'âge de retraite des GSP.

Il a expliqué que le syndicat a tout fait pour éviter l'arrêt du travail. Et de préciser qu'une correspondance a été initiée en vue d'avoir une audience avec le ministre de tutelle.
"Mais les autorités ont montré qu'elles n'ont pas le temps de nous recevoir", a déploré M. Bayala, avant d'ajouter que "nous avons patienté en vain".

ALK/od/APA
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