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Francophonie : Henri Lopes, bien parti pour succéder à Abdou Diouf ?
Publié le samedi 22 novembre 2014  |  burkina24.com
Francophonie
© Autre presse par DR
Francophonie : Henri Lopes, bien parti pour succéder à Abdou Diouf ?




Cinq candidats, dont quatre Africains, briguent la succession du Sénégalais Abdou Diouf à la tête de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). 57 Chefs d’Etat et de gouvernement auront à trancher « par consensus et à huis clos », fin novembre, au 15e sommet de la francophonie à Dakar. Mais déjà, l’écrivain et diplomate congolais, Henri Lopes semble être bien parti pour emporter le poste de secrétaire général de l’OIF.

Qui succédera à Abdou Diouf (79 ans), parmi les 5 candidats en lice dont l’écrivain Henri Lopes, ancien premier ministre du Congo-Brazzaville (de 1973 à 1975) et ambassadeur de la République démocratique du Congo (RDC) en France depuis 1998 ?

Déjà en 2002, Henri Lopes s’était présenté contre Abdou Diouf pour le poste de secrétaire général de l’OIF. Mais le sénégalais l’avait emporté. Cette fois-ci, Henri Lopes serait, en tout cas, bien parti pour l’emporter face à Michaëlle Jean (ex-gouverneure générale du Canada), Pierre Buyoya (président du Burundi à deux reprises), le journaliste mauricien Jean Claude de L’Estrac, (ancien ministre des Affaires étrangères) et Agustin Nze Nfumu (ancien ambassadeur de la Guinée Equatoriale à Londres).

Aucune date limite n’étant fixée avant le sommet de la francophonie des 28 et 29 novembre à Dakar, d’autres candidatures ne sont pas à exclure.

Dioncounda Traoré, président du Mali par intérim en 2012-2013, lui, vient de se désister. Mais, Henri Lopes, le candidat de la RDC, pays le plus francophone au monde, voit sa candidature défier toute concurrence.

« Ma francophonie est frappée du sceau de mon identité personnelle : celle d’un enfant des deux rives du fleuve Congo, qui a vécu le plus clair de sa vie hors de sa terre natale », c’est un extrait du discours d’Henri Lopes, lors de la remise du Prix Louisiane.

Ce passage dépeint aussi la candidature de l’homme, « toujours au service de l’idéal francophone ». Candidature qui remonte à la période avant le sommet de Hanoi et qui a été suscitée par de nombreux pays dont le Sénégal, estimant qu’il présente le profil adéquat au regard de son expérience internationale.
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