Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratiques    Le Mali    Publicité
aOuaga.com NEWS
Comment

Accueil
News
Sport
Article
Sport

CAN 2015 : comment le Maroc s’est mis hors-jeu
Publié le mercredi 19 novembre 2014  |  Jeune Afrique
Eliminatoires
© aOuaga.com par A.O
Eliminatoires CAN 2015 : Les Etalons battent le Lesotho par 2 buts à 0
Samedi 6 septembre 2014. Ouagadougou. Stade du 4-Août. Les Etalons du Burkina ont battu les Crocodiles du Lesotho par 2 buts à 0 dans le cadre de la première journée des éliminatoires de la Coupe d`Afrique des nations (CAN) de football Maroc 2015. Photo : les Etalons du Burkina




La Coupe d’Afrique des nations ne se jouera pas au Maroc, qui avait demandé un report en invoquant le "péril Ebola". Récit de ces folles semaines qui ont mis Rabat et la CAF au bord de la crise de nerfs.
Après un mois de bras de fer, la Confédération africaine de football (CAF) a décidé, le 11 novembre, de prendre acte du refus du Maroc d’organiser la Coupe d’Afrique des nations en janvier-février 2015. Rejetant catégoriquement la demande de Rabat de reporter la compétition pour cause de "risque sanitaire majeur", elle a, trois jours plus tard, confié à la Guinée équatoriale le soin d’accueillir cet événement.
Cet Ebolagate qui ne dit pas son nom a vu se succéder des couacs de communication, des tractations secrètes, et surtout provoqué un choc des ego entre le royaume chérifien, représenté par Mohamed Ouzzine, son ministre de la Jeunesse et des Sports, et Issa Hayatou, le président de la CAF.
Intervenant devant la Chambre des conseillers (la chambre haute du Parlement marocain) quelques heures après la sentence venue du Caire, Ouzzine a répété que "l’intérêt du Maroc et des Marocains prime toute autre considération". Pour lui, le risque de propagation du virus Ebola constitue un "cas de force majeure" - un argument juridique sur lequel Rabat entend désormais bâtir sa défense devant les instances, notamment le Tribunal arbitral du sport, qui devront trancher sur la question des sanctions et autres réparations. Une menace que la CAF agitait depuis des semaines et qui a eu le don d’agacer en haut lieu.
... suite de l'article sur Jeune Afrique

Commentaires