Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratiques    Le Mali    Publicité
aOuaga.com NEWS
Comment

Accueil
News
Santé
Article
Santé

Virus Ebola : les effets bénéfiques possibles des approches de la médecine alternative
Publié le vendredi 22 aout 2014  |  Autre presse
Le
© Autre presse par DR
Le sérum Zmapp




Ceci est une tribune du naturuthérapeute burkinabè Sy Siaka sur trois approches thérapeutiques de la médecine dignes d’intérét dans un contexte de psychose provoquée par la fièvre hémorragique à virus Ebola.


S’il y a un problème de santé publique qui fait courir le mode entier, particulièrement les chefs d’Etat et les autorités sanitaires, c’est bien la déferlante du virus d’Ebola qui du triangle de la Mano River Union (Guinée, Libéria, Sierra Léone) est arrivée au Nigéria.
En effet, la mobilisation contre Ebola a franchi une étape le vendredi 2 août 2014 avec un sommet réunissant les pays touchés qui ont décidé de mettre en place un cordon sanitaire autour de l’épicentre de l’épidémie.
La Directrice Générale de l’OMS, Margaret Chan, a lancé lors de ce sommet un signal d’alarme face à la propagation de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest. Elle a ajouté que « Cette épidémie avance plus vite que nos efforts pour la contrôler. Si la situation continue à se détériorer, les conséquences peuvent être catastrophiques en termes de vies perdues, mais aussi de perturbations socio-économiques et de risques élevés de propagation à d’autres pays», a prévenu Dr Chan. La gravité de la situation est telle aujourd’hui que l’OMS a déclaré l’état d’urgence sanitaire.

Force est de reconnaître que si tout doit être mis en œuvre en terme de prévention, la prise en charge des personnes infectées demeure le gros ‘’casse-tête ‘’. En effet, le docteur responsable de la lutte contre Ebola en Sierra Léone, lui-même infecté, a succombé.
L’état du Dr Kent Brantly, qui a contracté le virus d’Ebola où il soignait des patients, a nécessité son rapatriement aux USA. Une autre missionnaire américaine, Nancy Writebol, également contaminée, a été rapatriée.
Un vaccin expérimental donné à titre exceptionnel a, selon la presse, amélioré l’état de ces deux patients. Malheureusement, toutes les personnes infectées ne pourront pas bénéficier de ce traitement. Que faire ?

L’espoir est permis avec la médecine alternative.

Comment agit le sérum expérimental dont on parle ? « Le produit est une combinaison de trois anticorps qui, pense-t-on, agit de deux manières.
Un des anticorps alerte le système immunitaire de la présence de cellules infectées afin qu’elles soient détruites…les deux autres anticorps probablement empêchent le virus de se répliquer. Nous sommes encore en train de voir exactement comment ça marche selon Erica Ollmann Saphire, Ph.D, Professor of immunology at the Scripps Research Institute in La Jolla. Mais ça semble neutraliser le virus, ajoute-t-elle.
Si c’est ce mécanisme d’action, l’extrait de la feuille d’olivier a cette capacité comme vous le verrez.
Ainsi, tout espoir n’est pas perdu car la médecine alternative offre des approches qui peuvent avoir des effets bénéfiques contre le virus d’Ebola comme ce produit en expérimentation.

Qu’est-ce que la médecine alternative ?

Ce n’est pas une médecine de charlatans mais de professionnels aux cursus bien remplis qui, souvent, au regard des limites de la médecine conventionnelle, ont décidé d’explorer d’autres pistes.
Ces pistes comme vous le verrez dans l’article, sont basées sur les avancées de la médecine cellulaire et moléculaire à savoir ce qui se passe au niveau de la cellule.
Dès lors que la mortalité d’Ebola n’est pas à 100%, c’est qu’il y a quelque chose qui se passe au niveau cellulaire de ceux-là qui résistent à la déferlante du virus.
• Avec le Dr Harry Demopoulos, la prise en charge est envisageable avec le Glutathion naturellement produite par l’organisme et présente dans toutes les cellules pour le soutien du système immunitaire.
• Avec la vitamine C en intraveineuse à forte dose. L’intérêt thérapeutique de la vitamine C à forte dose, sans toxicité, a été démontré et prouvé parle Dr Linus Pauling Ph.D deux fois Prix Nobel de médecine.
Ce que Linus Pauling a avancé a été confirmé par Dr Thomas E. Levy dans un excellent ouvrage intitulé Curing the incurable (étayé par plus de 1200 références scientifiques).
• Avec l’extrait standardisé de la feuille d’olivier. Dr Morton Walker a écrit un excellent livre sur les vertus thérapeutiques surtout virucide de l’extrait de la feuille d’olivier.
Ces trois possibilités sont non seulement des antiviraux, mais également de puissants immunostimulants. Or, l’approche thérapeutique actuelle est le contrôle des symptômes afin que le système immunitaire puisse débarrasser l’organisme du virus.

La problématique

Il n’y a ni vaccin, ni médicament spécifique contre le virus d’Ebola ; c’est ce qui est répété en boucle. Les connaissances de la médecine moléculaire et cellulaire offrent un espace aux approches de la médecine alternative.
Par exemple, le glutathion est la protection intracellulaire par excellence. Sa présence en quantité suffisante permet à l’organisme de résister à toute agression de germes pathogènes (virus, microbes, bactérie, etc.)
La prise en charge à l’heure actuelle consiste principalement à gérer les symptômes afin de permettre au système immunitaire de jouer son rôle de protection contre tout agresseur. Ainsi, l’efficience du système immunitaire est fonction, entre autres, du taux de glutathion, ‘’refaire le plein’’ s’avère être une piste thérapeutique pour contrôler le virus d’Ebola. Dès lors que la mortalité n’est pas à 100%, l’efficience du système immunitaire est pour quelque chose chez les survivants. Il faut noter que le glutathion est naturellement produit par l’organisme pour, précisément, le renforcement du système immunitaire.

Le Glutathion de Dr Harry Demopoulos

Rappelons que le taux de mortalité du virus Ebola n’est pas à 100%. C’est dire qu’il y a des patients qui survivent. Ceux qui survivent le doivent à la superbe de leurs systèmes immunitaires.
Force est de reconnaître qu’une substance en l’occurrence le glutathion joue un rôle clé dans l’efficience du système immunitaire. C’est l’élément fondamental de la protection intracellulaire. L’efficience du système immunitaire est fonction du taux de glutathion intracellulaire.
Ainsi, à cause du rôle important que joue le glutathion comme maître antioxydant, il y a eu plusieurs tentatives en vue de produire le glutathion sous la forme de complément nutritionnel oral. La plupart du glutathion oral sur le marché est détruit par le système digestif.
Finalement, en 1990, Dr Harry Demopoulos et Dr M. Seligman ont ‘’brisé’’ le code du glutathion et ont trouvé le moyen de stabiliser le glutathion et formuler ainsi le premier complément oral efficace. Dans des essais cliniques de la FDA, leur formulation à un taux d’absorption dans les cellules de 75-80% au bout de 90 minutes a été prouvée.
Dans son CV du Dr Demopoulos on note 95 publications, 6 brevets US et plus d’une trentaine de brevets internationaux. Dr Demopoulos, qui est un ami de longue date, est également un grand ami du Pr Luc Montagnier.
Harry Demopoulos est un ami parcequ’ayant entendu parler de l’épidémie du virus d’Ebola, il m’a appelé le samedi 16 août dernier pour m’informer qu’il allait m’envoyer du glutathion pour mon usage personnel.

Qu’est-ce que le glutathion ?

Le roi des antioxydants est fabriqué par l’organisme. Le glutathion est reconnu comme le maître antioxydant.
En 2013, le 125e anniversaire de la découverte du glutathion a été célébré. Au fil des années, l’intérêt et l’enthousiasme a connu plusieurs apogées jusqu’à nos jours, il n’est pas encore bien connu. Il y a une reconnaissance continue de l’importance du glutathion aussi bien que ses multiples fonctions physiologiques. Le dysfonctionnement du glutathion est lié à l’étiologie et la progression de plusieurs maladies cliniques dont le cancer, les maladies du vieillissement, cardiovasculaire, inflammatoire, immunitaire, métabolique et les maladies neurodégénératives.

Pubmed à plus de 11 4000 références pour le seul moteur de recherche ‘’glutathione’’

Le glutathion est un antioxydant naturel composé de trois acides aminés liés, produits continuellement par le corps. Le glutathion joue un rôle vital dans la préservation d’un système immunitaire en bonne santé en aidant le corps à lutter contre les virus et autres types d’infections.
Elle contrôle la plupart des processus vitaux de nos cellules. Ce produit éminemment naturel est fabriqué par notre foie. Un antioxydant immunostimulant sans équivalent.
Le glutathion est l’un des compléments les plus précieux qui soient. Qu’il s’agisse de maladies sévères comme le diabète qu’il aide à prévenir de façon visible ou de petits maux (tâches de vieillesse). C’est par exemple un excellent produit contre les allergies, en particulier contre l’eczéma, qu’il guérit de façon spectaculaire en quelques jours. Mais il agit sur tant de problèmes de santé qu’il serait trop long d’en établir la liste exhaustive.
Plus de cent années de recherches et 81 000 articles scientifiques ont établi que le glutathion est l’une des plus importantes molécules protectrices dans l’organisme y compris au niveau immunitaire qu’elle nourrit indirectement. Une faible concentration en glutathion a été impliquée dans la plupart des maladies (avec pour corollaire des améliorations avec un apport de glutathion) :
Contrairement aux simples antioxydants tels que la vitamine C, vitamine E et les carotènes, qui proviennent de l’alimentation, le glutathion est produit par l’organisme.
Non seulement il est 100 fois plus puissant que ces antioxydants simples, mais il dissocie également les molécules de graisse et se lie à des toxines comme les métaux lourds, les solvants et les pesticides et les transforment en composés hydrosolubles susceptibles d’être facilement éliminés par les urines.
Il est l’élément de détoxication le plus important de l’organisme et le principal agent de la bonne santé de l’organisme. On le retrouve dans toutes nos cellules et à un taux particulièrement élevé dans le foie.
Sans lui, nos cellules succomberaient, notre organisme n’offrirait qu’une faible résistance face à l’attaque des bactéries, des virus et notre foie serait détruit par une accumulation de toxines. De faibles niveaux de glutathion sont associés à des dysfonctionnements hépatiques et immunitaires, à des maladies cardiovasculaires.
Le taux de glutathion diminue lorsque nous vieillissons, ce qui ouvre la voie à de nombreuses maladies.
La plupart des maladies de dégénérescence ou liées au vieillissement (Alzheimer, Parkinson) présentent un taux anormalement bas de glutathion dans les cellules. C’est également le cas chez les malades atteints du Sida.
Le seul problème s’agissant du glutathion, c’est que l’organisme le produit en petite quantité et cette quantité est vite épuisée par des facteurs de stress oxydatif comme :
- Tous les polluants,
- Les rayons UV,
- L’alcool,
- Le tabac,
- Le stress,
- Les pesticides,
- Les aliments modifiés ou les viandes provenant d’animaux nourris aux hormones,
- Diverses infections,
- Les médicaments (particulièrement l’acétaminophène),
- Les additifs alimentaires, agents de conservation.

Comment maintenir un taux suffisant de glutathion ?

On ne trouve pas de glutathion dans notre alimentation puisque c’est notre organisme qui le fabrique à partir de certains éléments nutritifs.
Consommer des aliments riches en vitamines C, E, vitamines du groupe B et en zinc et en sélénium participe à la régénération du glutathion dans l’organisme.
Le chardon-marie, connue pour son efficacité comme détoxifiant du foie, augmente légèrement le taux de glutathion.
Les protéines de petit lait auraient également la propriété d’augmenter le taux de glutathion (mais ce n’est pas le plus rapide, mais le plus onéreux).
Le glutathion par voie orale est vendu sous forme de supplément mais il est très mal absorbé par l’organisme. La plupart du glutathion oral est détruit par le système digestif.
Dr Harry Demopoulos a trouvé, comme mentionné plus haut, le moyen de rendre le glutathion assimilable par le système digestif.

La vitamine C en intraveineuse

Les premiers symptômes de la fièvre Ebola sont exactement les mêmes que ceux du scorbut qui sont causés par l’insuffisance de la vitamine C. Le scorbut se manifeste par une carence en vitamine C tandis que la carence pratiquement totale dans l’organisme est constatée dans le cas de la fièvre Ebola.
En l’absence de toute vitamine C, les vaisseaux sanguins deviennent très faibles et commencent à perdre du sang et les plaquettes deviennent inefficaces et incapables de déclencher la formation de caillots. Ainsi la mort par le virus Ebola est causée par une hémorragie interne massive et la perte de sang qui pourrait être arrêtée par simple prise de doses énormes de vitamine C jusqu’à ce que le système immunitaire réussisse à tuer le virus.
On pourrait se poser la question face aux limites objectives de la médecine conventionnelle, pourquoi on n’utiliserait pas la vitamine C démontrée par la médecine ortho moléculaire capable de détruire tous les virus et résoudre le problème de la fragilisation capillaire. La fragilisation capillaire et la similitude reconnue avec le scorbut militent pour l’utilisation de la vitamine C.
Les symptômes de la déficience en vitamine C étaient déjà connus en 1500 avant J-C et furent décrits par Aristote. Le scorbut décimait les marins jusqu’au XXVIIIe siècle avant la découverte de l’effet du citron sur la maladie.
Il faut noter qu’il est maintenant établi que la déficience en vitamine C est la cause du scorbut.
S’agissant de la fragilisation capillaire, il faut noter que c’est le collagène qui fait le lien des tissus conjonctifs des vaisseaux sanguins entre autres. La fragilisation capillaire résulte, entre autres, de la détérioration du collagène.
L’utilisation de la vitamine C à forte dose vient de Linus Pauling Ph.D, biologiste moléculaire. C’est de lui que vient le terme ortho moléculaire.
La médecine ortho moléculaire décrit la pratique médicale de prévention et de traitement des maladies en apportant à l’organisme la quantité optimale de substances qui sont naturellement présentes dans l’organisme. Or, la vitamine C est naturellement présente dans l’organisme, intervient dans la formation et l’entretien du collagène et dans la santé de nombreux organes (peaux, ligaments, cartilage, vaisseaux sanguins, etc.).
Rappelons qu’Ebola présente pratiquement les mêmes symptômes que le scorbut lié à la déficience en vitamine C. Le virus provoque en fait les mêmes effets que le scorbut mais de façon plus foudroyante.

« Le virus d’Ebola peut être détruit naturellement en dépit de ce qu’on a pu dire », dixit Dr Thomas Levy

Selon Dr Thomas E. Levy, auteur du livre ’’Curing the incurable’’, le virus d’Ebola peut être guéri naturellement. Il avance qu’à ce jour aucun virus n’a été testé et qui ne puisse pas être tué par une grande quantité
de vitamine C (acide ascorbique). Beaucoup d’autres antioxydants ont des effets virucides similaires mais, toujours selon Dr Levy, la vitamine C semble particulièrement d’une grande puissance et efficacité clinique du fait de sa structure chimique simple qui lui permet d’être acheminée pratiquement partout dans l’organisme.
Comme tel, la vitamine C est capable de lutter efficacement contre les populations de virus présentes tant dans les milieux intra et extra cellulaires. Il y a d’autres antioxydants qui ont un ORAC (Oxygen Radical Absorbance Capacity) élevé, une mesure utilisée pour quantifier la capacité des antioxydants des compléments ou (des aliments). Un virus ne peut pas être tué par un antioxydant puissant si la structure chimique de cet antioxydant ne permet pas un contact direct entre le virus et l’antioxydant. La vitamine C est aussi puissante que bio disponible au maximum pour frapper n’importe qu’elle infection virale.

Pourquoi la vitamine C est si efficace pour tuer les virus

Selon Dr Levy, un premier moyen par lequel la vitamine C détruit les virus est de les regrouper pour être détruits par le système immunitaire par l’activation de ‘’la réaction de Fenton’’. En un mot, cette réaction peut agir à l’intérieur du virus, à l’intérieur des cellules ainsi que dans les cellules que le virus utilise pour se multiplier et à la surface des virus eux-mêmes.
Le résultat de cette réaction qui est stimulée par la présence de la vitamine C, une ou plusieurs transitions de cations métalliques, et la présence sur place de peroxyde est la production immédiate de radicaux hydroxyle.
Ces radicaux sont les agents les plus réactifs oxydants jamais découverts. Comme tels, ils renforcent radicalement le stress oxydatif et finissent par détruire tout ce qui se trouve dans leur environnement immédiat
Les effets de la vitamine C dans le nettoyage après avoir infligé des dégâts sur le virus sont appuyés par son puissant et multidimensionnel soutien au système immunitaire. Il n’y a pas d’autres substances qui, singulièrement, fassent autant pour une stimulation accrue et forte du système immunitaire comme la vitamine C.
Parmi ses autres effets, la vitamine C stimule l’interféron et la production d’anticorps tout en renforçant effectivement les fonctions des globules blancs en devenant très concentrée à l’intérieur de ces cellules

L’extrait de la feuille d’olivier

Contre les virus, nous avons besoin d’un agent virucide naturel, aisément disponible, qui n’endommage pas les cellules humaines et qui soit efficace contre les germes pathogènes causant les maladies virales. Cet agent thérapeutique existe, bien sûr, puisqu’il se trouve sur les oliviers depuis cinq ou six mille ans mais il a été considérablement négligé par la médecine occidentale. La poudre que l’on extrait des feuilles d’olivier est non seulement efficace contre les virus mais aussi contre la plupart des micro-organismes qui provoquent la maladie.
L’olivier est connu depuis l’époque de l’arche de Noé. L’extrait de feuille d’olivier représente un réel espoir d’empêcher la société d’être submergée par les maladies transmissibles sexuellement, les bactéries résistantes, les saccharomyces, les virus d’Ebola, le VIH et tous les autres virus qui tuent sans ménagement.

Comment Ebola attaque la membrane d’une cellule

La longue molécule d’ARN contenue dans le virus pénètre dans la cellule et s’y reproduit. Les nouveaux virus se forment et sortent de la cellule infectée et infectent de nouvelles cellules du malade. C’est le processus connu de la réplication virale. Sachez que les virus sont des organismes subcellulaires uniquement constitués d’un noyau (ARN) ou (ADN) recouvert de protéines. Ce sont les plus petits organismes connus, si petits, qu’on ne peut les voir qu’à l’aide d’un microscope à électrons. Les virus ne peuvent pas se reproduire indépendamment des cellules de leur hôte. Aussi, lorsqu’ils envahissent une cellule, ils la stimulent de manière à la faire participer à la formation d’autres virus.
Une infection est un processus hautement complexe pour perturber le plus complexe fonctionnement des cellules internes. Arrêter ce processus très compliqué et le faire avec certains produits chimiques présentent des dangers.
Un antiviral naturel comme l’extrait de la feuille d’olivier le fait miraculeusement sans danger pour les cellules humaines. Ce qui, en soi, est un exploit qui dépasse l’entendement humain.
Les chercheurs de la Société Upjohn ont démontré les effets antiviraux avec l’utilisation d’un ingrédient extrait de la feuille d’olivier (Élénolate de calcium) testé in vitro et in vivo. Il a une activité antivirale contre chaque virus sur lequel il a été testé et agit comme suit :
• Pénètre dans la cellule infectée et bloque la réplication virale ;
• Interfère dans la production d’acides aminés indispensable à la vitalité d’un virus, d’une bactérie ou autres microbes spécifiques (empêche la prise en otage des fonctions des cellules) ;
• Une perturbation de l’infection virale et/ou de sa propagation en rendant les virus inactifs ou en les empêchant de se répandre ou de s’agglutiner sur la membrane cellulaire ; en d’autres termes leur fixation sur les membranes cellulaires ;
• Bloque la production par les rétrovirus de la production de la protéase et la transcriptase reverse—enzymes dont les rétrovirus comme le VIH (virus de l’immunodéficience humaine) utilisent pour modifier l’ARN de la cellule saine ;
• Stimule la réponse immunitaire pour les détruire.

En résumé, les ingrédients de l’extrait de la feuille bloquent le cycle de vie du virus, arrêtent sa multiplication et activent le système immunitaire pour les détruire.

Comment l’extrait de la feuille d’olivier qui est un puissant virucide combat les virus

De la feuille d’olivier, on obtient l’élénolate de calcium pur par une hydrolyse de faible acidité d’extraits aqueux. Cette substance cristalline est mise en poudre pour fabriquer des comprimés ou des gélules de complément nutritionnel virucide donnée aux patients.

En réalité, personne n’a été préparée à faire face à cette épidémie de la fièvre d’Ebola malgré sa découverte en 1976. Certainement que ses manifestations sporadiques expliquent le manque d’intérêt des firmes pharmaceutiques. Cette manifestation présente a pris tout le monde de court mais pas la médecine alternative qui, dans son arsenal, a des solutions qui pourraient avoir des effets bénéfiques sur cette maladie.
L’information relayée en boucle par les médias nationaux et internationaux, et même des propos de sommités médicales, est qu’il n’y a ni vaccin, ni traitements spécifiques. En effet, la prise en charge se résume effectivement dans le traitement des symptômes afin de permettre éventuellement au système immunitaire de jouer son rôle naturel de défense de l’organisme contre tout agresseur virus d’Ebola compris. On ne fait pas allusion au potentiel thérapeutique qu’offre la médecine alternative avec le glutathion, la vitamine C à forte dose en intraveineuse et l’extrait de la feuille d’olivier.
Depuis le temps de Linus Pauling, la médecine ortho moléculaire est devenue l’un des principaux piliers d’une approche holistique de la santé et est pratiquée par des milliers de médecins à travers le monde.
La vitamine C apporte le ciment (collagène indispensable pour la structure des tissus conjonctifs) qui maintient les cellules ensembles ; ce qui renforce les parois cellulaires. Scorbut et Ebola sont précisément des problèmes dus à une défaillance dans les parois cellulaires avec pour conséquence le début de l’hémorragie.
Comme mentionné précédemment, l’objectif de la prise en charge thérapeutique du virus d’Ebola est d’arriver par la bonne gestion des symptômes afin de restaurer le système immunitaire, ce qui est l’objectif du sérum expérimental. Ce système immunitaire est un don de Dieu pour notre protection contre tout agresseur même s’il s’appelle Ebola. Connaissant l’importance de la vitamine C pour aider l’homme dans des situations comme celle-ci, Dieu a donné la Sagesse au Dr Albert Gyorgy, Ph.D, de découvrir la vitamine C et surtout de recevoir le Prix Nobel de physiologie en 1937. Il en est de même du Dr Harry Demopoulos qui est arrivé à mettre au point une formulation bio digestive du glutathion naturellement présent dans nos cellules pour le soutien du système immunitaire.
Un autre don de la Nature est la feuille d’olivier. Dans la Bible, on l’appelle « l’arbre de vie » (cf p.23 du livre l’extrait de feuille d’olivier de Dr Morton Walker). Dans ce livre, vous avez une liste de 125 germes pathogènes (dont le virus d’Ebola type Soudan et RDC) que l’extrait de la feuille d’olivier (standardisé à 18-20% d’oléuropéine) peut combattre.
Le 5 août dernier, nous avons contacté Dr Thomas E. Levy qui nous a recommandé de bonnes sources d’approvisionnement en vitamines C à administrer en intraveineuse mais surtout les dosages. S’agissant de l’extrait de la feuille d’olivier, nous savons où le faire fabriquer selon les règles de l’art.
Le Glutathion, la vitamine C ascorbate en intraveineuse, l’extrait de la feuille d’olivier sont trois approches dignes d’intérêt pour la prise en charge de la fièvre hémorragique Ebola. Ces trois approches sont basées sur les connaissances de la biologie cellulaire et moléculaire. C’est la biologie cellulaire et moléculaire qui a permis d’identifier la présence du glutathion dans les cellules et l’importance de son taux adéquat pour la fonction immunitaire. Ainsi, faire ‘’le plein’’ en cas de maladie liée à sa déficience est une nécessité.
Il en est de même de la similitude des symptômes du scorbut et Ebola (hémorragies et fragilisation capillaire). Cette similitude démontre les effets bénéfiques possibles de l’administration à forte dose de la vitamine C en intraveineuse.
L’extrait de la feuille d’olivier, par contre, est digne d’intérêt pour les infections virales dont Ebola, selon la littérature. L’extrait de la feuille d’olivier permet pratiquement d’atteindre les objectifs du sérum expérimental.
Peut-on laisser cette épidémie détruire le tissu social et surtout économique ? Sommets et autres rencontres où des décisions importantes pour l’avenir de l’Afrique devront être prises sont reportés pour cause de virus d’Ebola, les frontières qui se ferment, les couvre-feux, l’interdiction des rassemblements, des manifestations sportives interdites …
L’urgence d’une approche thérapeutique digne d’intérêt devient un impératif contre cette psychose Ebola. Alors pourquoi ne pas recourir aux possibilités qu’offre la médecine alternative qui ont l’avantage de leurs innocuités et surtout leur simplicité ? En ce qui nous concerne, nous sommes en mesure de faciliter l’accès à ces approches voire les faire évaluer au besoin. Il est temps d’agir.


SY Siaka
Naturothérapeute

Bibliographie

- Klenner, E (1974) Significance of high intake of ascorbic acid in preventive medicine. Journal of International Academy of Preventive Medecine1 (1):45-69
- Curing the Incurable (Guérir l’incurable) par Thomas E. Levy MD JD
- Olive leaf extract, Dr Morton Walker
Commentaires