Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Burkina Faso    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Société

Des avocats défendront "gratuitement" les familles des victimes du crash d’Air Algérie
Publié le samedi 2 aout 2014   |  Xinhua


Voeux
© aOuaga.com par A. O
Voeux de nouvel an : Les avocats presentent leurs voeux au bâtonnier
Photo : Le bâtonnier Mamadou Traoré


 Vos outils




Un groupe d'avocats s'est engagé jeudi à Ouagadougou à se mettre "gratuitement" à la disposition de familles des victimes du crash d'Air Algérie qui souhaitent se constituer partie civile, rapporte un communiqué rendu public vendredi.

"Le Barreau du Burkina Faso s'engage à mettre gratuitement à la disposition de toutes les familles qui souhaitent se constituer partie civile, une équipe d'avocats pour suivre avec elles les procédures judiciaires et leur permettre ainsi un accès au dossier de l'enquête", souligne le communiqué signé par le Bâtonnier de l' ordre des avocats du Burkina, Me Mamadou Traoré.
Le vol AH5017 d'Air Algérie reliant Ouagadougou à Alger, ayant à son bord 118 personnes, dont 54 Français et 28 Burkinabé, s'est écrasé dans la nuit du 23 au 24 juillet dans le nord du Mali, à 50 km au nord de la frontière avec le Burkina Faso.
"Beaucoup de victimes sont nos amis, nos parents, nos relations professionnelles, et plus particulièrement l'une d'entre elles est la fille d'un de nos confrères", a ajouté Me Traoré, précisant que "c'est notre modeste contribution pour assister techniquement les familles".
Le Parquet de Ouagadougou et celui de Paris (France) ont déjà ouvert des informations judiciaires pour "homicides involontaires par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement".
Quelques jours après le crash, les boîtes noires de l'appareil ont été retrouvées et l'analyse des données a débuté vendredi à Paris.

 Commentaires