Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Burkina Faso    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Société

Burkina Faso : les journalistes des médias publics seront en grève le 16 juillet
Publié le lundi 14 juillet 2014   |  Xinhua


Prix
© aOuaga.com par A.O
Prix de la meilleure journaliste burkinabè : Fatouma Ouattara, lauréate de l`édition 2013
Samedi 19 octobre 2013. Ouagadougou. RAN Hôtel Somkièta. L`édition 2013 du Prix de la meilleure journaliste burkinabè, d`une valeure de 1 million de F CFA, a été attribué à Fatouma Sophie Ouattara des Editions Sidwaya pour son enquête intitulée "Cité des forces vives : ça sent mauvais". Photo : Justin Coulibaly, président du comité de pilotage du Centre national de presse Norbert Zongo


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

OUAGADOUGOU, 13 juillet (Xinhua) -- Les journalistes burkinabé réunis au sein du Syndicat autonome des travailleurs de l’information et de la culture (SYNATIC) vont observer un arrêt de travail de 24 heures le 16 juillet pour réclamer de meilleures conditions de vie et de travail.

Les revendications des journalistes du public portent, entre autres, sur l’arrêt des "intimidations" et la levée des sanctions déguisées à l’encontre des hommes de médias, l’élaboration d’un Statut particulier pour les travailleurs des médias publics en vue de l’amélioration conséquente de leurs conditions de vie et de travail, selon une lettre du SYNATIC adressée ce week-end au président burkinabé Blaise Compaoré.

A l’issue d’un sit-in organisé par le SYNATIC, le ministère de la Communication a mis sur pied un "Comité de suivi des questions Sociales" qui a planché sur les différentes réoccupations des travailleurs des médias publics.

Ce comité a déposé ses conclusions en décembre 2013. Mais depuis lors "c’est le silence radio" et aucune solution concrète n’a été apportée aux doléances formulées, a déploré le secrétaire général du SYNATIC, Justin Coulibaly, dans la lettre.

"Si à l’issue de cette action, des solutions satisfaisantes ne sont pas trouvées, le SYNATIC se réserve le droit d’engager des luttes multiformes pour faire aboutir ses justes et légitimes revendications", a averti M. Coulibaly.



Articles associés

Agence de Presse Africaine
Les travailleurs des médias publics burkinabè, en grève mercredi
 

 Commentaires