Journée de l’enfant africain à Orodara: Une conférence sur la problématique de l’éducation #aOuaga

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Journée de l’enfant africain à Orodara: Une conférence sur la problématique de l’éducation

Publié le mardi 8 juillet 2014 | AIB

© aOuaga.com par A.O
Colonie de vacances sous-régionale
Lundi 29 juillet 2013. Ouagadougou. Le gouverneur de la région du Centre a donné le top de départ d`une colonie de vacances regroupant des enfants de pays ouest-africains

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A l’occasion de la 24eédition de la Journée de l’enfant africain, une conférence a été organisée le mardi 1er juillet 2014 à Orodara. Elle a porté sur les besoins fondamentaux des droits de l’enfant et la mise œuvre du continuum d’éducation de base.

Dans la cité du Verger, la conférence organisée à l’occasion de la 24eédition de la Journée de l’enfant africain, a été marquée par deux communications. L’une porte sur les besoins fondamentaux des droits de l’enfant, tandis que l’autre, est relative à la mise œuvre du continuum avec pour centre d’intérêt, une éducation de qualité, gratuite, obligatoire et adaptée pour tous les enfants. La première communication a été développée par Mamadou Barro, chef de service de promotion des droits de l’enfant à la direction de la lutte contre les violences faites à l’égard des enfants. La seconde a été développée par la directrice provinciale de l’éducation nationale du Kénédougou, Suzanne Sidibé. C’est le haut-commissaire de la province du Kénédougou, Sayouba Sawadogo qui a présidé la cérémonie d’ouverture conférence de cette conférence. A cette occasion, le directeur provincial de l’Action sociale et de la solidarité nationale du Kénédougou, Drissa Dao et le haut-commissaire ont remercié le ministère de l’Action sociale et de la Solidarité nationale pour le choix de Orodara pour la tenue de cette conférence. En outre, ils ont invité les participants, à prêter une oreille attentive aux échanges et aux débats, afin d’en tirer profit pour être les relais sur le terrain. Revenant sur le premier thème portant sur les droits de l’enfant, le communicateur, Mamadou Barro, s’est appesanti sur les besoins fondamentaux de l’enfant. «L’éducation universelle et de qualité est une préoccupation mondiale mise en relief dans de nombreux accords internationaux et plans d’investissement», a-t-il dit. Malgré le rôle important que joue l’éducation dans le développement des pays africains, nombre d’enfants, selon le conférencier, sont dans l’impossibilité d’accéder à une éducation adaptée, de qualité, gratuite et obligatoire de manière significative. C’est pourquoi Suzanne Sidibé a étalé sa communication sur la mise en œuvre du continuum d’éducation dans ses différentes composantes et étapes. Cet exposé a permis aux participants de mieux appréhender la problématique de l’éducation au Burkina Faso, à travers les différentes reformes.

Apollinaire KAM

AIB/Orodara

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