Monument des droits humains : Pour que règne l’esprit de solidarité et de pardon au Burkina #aOuaga

Société

Monument des droits humains : Pour que règne l’esprit de solidarité et de pardon au Burkina

Publié le mercredi 25 juin 2014 | RTB

© Présidence par DR
Le président du Faso, Blaise Compaoré, a rencontré les forces burkinabè de l’ECOMIB (Mission de la CEDEAO en Guinée Bissau), le lundi 23 juin 2014 à Bissau en Guinée Bissau

Vos outils

REAGISSEZ

La commémoration chaque 30 mars de la journée nationale du souvenir, de la promotion des droits humains et de la démocratie, est l’un des 7 engagements pris par le Président du Faso le 30 mars 2001 à l’occasion de la première journée nationale de pardon. La mise en œuvre de cet engagement offre l’opportunité d’organiser des activités commémoratives sous le signe de la promotion, de la protection des droits humains et de la consolidation de l’Etat de droit et de la démocratie à travers le pays. En 2010, la commémoration de cette journée a été marquée par l’inauguration du monument des droits humains. Situé au quartier Patte d’Oie, secteur 15 de Ouagadougou (ancien découpage de la ville), ce monument rappelle le devoir d’unité et d’union, face aux nombreux défis dans un esprit de solidarité, d’humilité et de pardon.

Il comporte des statuettes, présentant deux hommes et deux femmes, venus des quatre horizons du Burkina Faso. Ces quatre personnes sont prosternées et se regardent en face en se tenant les bras en forme de cercle. La prosternation symbolise l’unité. En se regardant, ils font référence au souvenir, au dialogue pour le pardon.

Quant au cercle formé, il représente l’union nationale autour de la promotion des droits humains. Le monument présente aussi unetige portant la flamme (logotype du Centre des Nations unies pour les droits humains) de la paix et des droits humains.

Commentaires