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Me Halidou Ouédraogo invite les partis politiques à s’unir
Publié le vendredi 23 novembre 2012   |  AIB




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Ouagadougou - L’ancien président du Mouvement burkinabè des droits de l’homme et du peuple (MBDHP), Me Halidou Ouédraogo a déploré jeudi au cours d’un entretien, le nombre élevé des partis politiques tout en les appelant à s’unir.

« 74 partis politiques qui vont aux élections, c’est toujours trop. Il faudrait que les uns et les autres au sortir de cette course au renouvellement de nos institutions puisent réfléchir, voir comment ils vont se rassembler, afin de pouvoir contribuer à la consolidation de notre démocratie » a déclaré l’ancien président du MBDHP, Halidou Ouédraogo.

Faisant le bilan à mi-parcours de la campagne des élections couplées de 2 décembre prochain, Me Ouédraogo a félicité les partis qui présentent un programme politique.

« Il y a quelques partis politiques qui ont fait un effort pour écrire un programme mais il existe d’autres qui n’ont pas fait d’efforts » a estimé M. Ouédraogo.

« Quand un parti dit oui, j’ai nettoyé un cimetière c’est une bonne action mais ce n’est pas un programme politique » a déplopré l’ancien président du MBDHP.

De son avis, la conquête et l’exercice du pouvoir doit se baser sur un solide programme de gouvernance et le renforcement de la démocratie au niveau de la santé, de l’éducation, des questions de la pauvreté et sur le devenir du pays.

Il a par ailleurs conseillé aux partis politiques de profiter de cette occasion pour convaincre les électeurs sur le caractère essentiel de leur programme et montrer comment ils peuvent effectivement arriver à une consolidation de la démocratie.

Ces élections, a souligné M. Ouédraogo, doivent précéder le renouvellement des conseillers municipaux et également au renouvellement du parlement l’Assemblée nationale.

Aussi, a-t-il souhaité que le 2 décembre prochain que les électeurs puissent se rendre aux urnes pour choisir le programme auquel ils adhérent et choisir le leader capable d’apporter un changement dans le sens de la consolidation de la démocratie au Burkina Faso.

« Ceux qui auront convaincus, seront récompenser et ceux qui n’auront pas convaincus remettront cela plus tard » a-t-il déclaré.

La campagne électorale couplées des législatives et municipales s’est ouverte officiellement le 17 novembre sur toute l’étendue du territoire nationale.

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