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Fonds panafricain pour le cinéma et l’audiovisuel (FPCA) à Tunis : une étape décisive
Publié le vendredi 16 novembre 2012   |  Autre presse




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La première réunion du Conseil d’Orientation du Fonds panafricain pour le cinéma et l’audiovisuel (FPCA) aura lieu le 19 novembre prochain au siège administratif du Fonds à Tunis, en marge de la 24e édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC).

Elle réunira, autour des autorités tunisiennes et des représentants de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), des professionnels et militants du cinéma panafricain ainsi que des représentants d’Institutions nationales et internationales dont l’UNESCO et l’Union africaine.

Cette rencontre constitue une étape décisive dans la structuration du FPCA puisqu’il s’agira d’examiner les modalités de mise en place de la structure juridique et opérationnelle du FPCA et de préciser les modalités du partenariat multilatéral qui permettra son développement.

Organisée sous l’impulsion de Ferid BOUGHEDIR, Coordonnateur du FPCA en partenariat avec le Ministère de la Culture de Tunisie et avec l’appui de la Chambre nationale des producteurs de films de Tunisie et l’OIF, cette première réunion du Conseil d’Orientation fait suite à l’annonce, en marge du Festival de Cannes 2012, du Ministre de la Culture de Tunisie, Son Excellence Monsieur Mehdi MABROUK qui a apporté un appui déterminant au projet en demandant d’abriter le siège administratif du Fonds en Tunisie.

Le projet de création du Fonds panafricain pour le cinéma et l’audiovisuel a été initié en 2010 grâce à l’engagement du Secrétaire général, Son Excellence Monsieur Abdou Diouf et bénéficie du soutien de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) qui joue un rôle de catalyseur et de facilitateur. Plusieurs États africains ont manifesté leur soutien officiel à ce projet ambitieux.

Par son appui à cette initiative d’origine africaine, l’OIF répond aux souhaits des professionnels du secteur, relayés par la Fédération Panafricaine des Cinéastes (FEPACI), d’améliorer leurs capacités de production et d’expression et de partager leurs visions avec le reste du monde.

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