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Alliance ‘’AGIR’’ contre la faim : les problèmes existent, les solutions sont connues
Publié le lundi 12 mai 2014   |  RTB


Conseil
© aOuaga.com par A.O
Conseil des ministres : la séance du 30 avril délocalisée à Bagré
Mercredi 30 avril 2014. Bagré (région du Centre-Est). Le Conseil des ministres s`est tenu sous la présidence du chef de l`Etat, Blaise Compaoré. Photo : Mahama Zoungrana, ministre de l`Agriculture et de la Sécurité alimentaire


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Dans le cadre de la lutte contre l’insécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest, le Comité Inter Etats de Lutte Contre la Sècheresse dans le Sahel (CILSS) en collaboration avec la CEDEAO et l’UEMOA a mis en place un programme de résilience dénommé ‘’AGIR ‘’. Ce programme vise à renforcer la résilience des plus vulnérables pour atteindre l’objectif « faim zéro dans 20 ans ». A Ouagadougou ce 12 mai 2014, autour d’un atelier de concertation sur la contribution des organisations de la société civile et du secteur privé à ce projet, le comité de pilotage semble conscient des difficultés mais les solutions sont aussi connues.

D’ici 20 ans, la faim et la malnutrition seront éradiquées en Afrique Subsaharienne, selon le CILSS. Sous le leadership politique de la CEDEAO et de l’UEMOA, la coordination technique du CILSS s’affaire pour le succès de ce défi majeur dans 17 pays Africains.

Pour y parvenir, « les organisations paysannes, de la société civile, du secteur privé et leurs plateformes sont parties prenantes ». Elles sont exclusivement interpellées pour jouer leur rôle, par le secrétaire exécutif du CILSS, Djimet ADOUM à la rencontre de Ouagadougou sous le regard du ministre Burkinabè en charge de l’agriculture, Mahama ZOUNGRANA.

Au cours de cet atelier de Ouagadougou, les participants examineront et valideront les documents produits tout en définissant les rôles et les responsabilités des organisation paysannes, de la société civile et du secteur privé dans la mise en œuvre de l’Alliance.

Les avancées dans ce sens sont déjà enregistrées. « Je suis ravis de porter à votre connaissance que des dialogues inclusifs ont été lancés au Burkina, en Côte d’Ivoire, au Mali et au Togo », s’en réjouit le secrétaire ADOUM.

Le démarrage concret du projet est imminent d’autant plus que le ministre Burkinabè de l’agriculture et de la sécurité alimentaire, Mahama ZOUNGRANA rassure :« d’ici à la fin de l’année, le projet sera opérationnalisé ».

Dramane GUENE

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