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La liberté de la presse n’est pas encore acquise, selon le Conseil supérieur de la communication du Burkina
Publié le dimanche 4 mai 2014   |  Agence de Presse Africaine


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© Autre presse par DR
La présidente du Conseil supérieur de la communication (CSC), Béatrice Damiba


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La liberté de presse n’est pas encore acquise au Burkina, a affirmé la présidente du Conseil supérieur de la communication (CSC), Béatrice Damiba dans son message à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse commémorée ce samedi.

La présidente du CSC a d’emblée, salué la réalité de la liberté de presse au Burkina Faso, avant de reconnaitre que « comme toute liberté, celle de la presse n’est pas acquise pour de bon ».
Pour Béatrice Damiba, il faut travailler chaque jour à préserver cette liberté de presse et à la rendre plus tangible.

« Le rang de 52e mondial et de 6e en Afrique pour la liberté de la presse selon le classement 2013 de + Reporters sans frontières + est certes encourageant mais pourrait et devrait s’améliorer », a-t-elle souligné.

A entendre Mme Damiba, au Burkina Faso, l’importance des médias et leur contribution significative dans le développement sont reconnus.
« C’est pourquoi, poursuit-elle, le CSC les accompagne en termes de formation et mène assidument un plaidoyer auprès des plus hautes autorités pour un soutien toujours plus accru à travers, entre autres, l’aide annuelle à la presse privée et l’allègement de la fiscalité sur des produits entrant dans la + fabrication + de l’information et de la communication ».

Elle a exhorté les journalistes du Burkina Faso à redoubler de vigilance dans le respect des principes d’éthique et de déontologie et à faire preuve de plus de responsabilité sociale.

« Je souhaite que vous fassiez du respect de ces règles d’or du métier, une préoccupation quotidienne afin que notre pays soit un exemple et une référence en matière de professionnalisme et de liberté de la presse », a-t-elle conclut son message.

Cette année la Journée mondiale de la liberté de la presse est commémorée sous le thème : « La liberté des médias pour un avenir meilleur : contribuer à l’agenda de développement post 2015 ».
Au plan national, les femmes et hommes de médias ont décidé de se pencher sur le thème : «Rà´le des médias dans des situations d’effervescence politique : cas du Burkina Faso ».


ALK/of/APA

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