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Affaire Sankara - Me Farama : "Certains juges burkinabè sont proches du pouvoir"
Publié le vendredi 2 mai 2014   |  Jeune Afrique


Troubles
© aOuaga.com par A. O
Troubles à l`université : ouverture du procès des 50 étudiants
Mardi 13 aout 2013. Ouagadougou. Le procès des 50 étudiants interpellés lors des troubles à la suite de la fermeture des cités universitaires a eu lieu au Tribunal de grande instance de Ouagadougou (TGI). Photo : Me Prosper Farama, un des avocats défendant les étudiants


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L'avocat de la famille Sankara, Me Prosper Farama, réagit à la décision du tribunal de grande instance de Ouagadougou de se déclarer incompétent dans la demande d'exhumation de l'ancien président burkinabè. Interview.

Après avoir successivement renvoyé sa décision au 2 puis au 30 avril, le Tribunal de grande instance de Ouagadougou s'est finalement déclaré "incompétent" quant à la demande d'exhumation de la tombe de Thomas Sankara, formulée le 15 octobre 2010 par la famille de l'ancien président du Burkina Faso. Peu surpris par cette décision, l'avocat de la famille Sankara, Me Prosper Farama, répond aux questions de Jeune Afrique.

Jeune Afrique : Comment expliquez-vous la décision du tribunal de grande instance ?
Me Prosper Farama : Pour être honnête, je m'y attendais. C'est la troisième fois qu'un tribunal se déclare incompétent sur ce dossier. L'argument est toujours le même : ils nous disent que cela ne relève pas de leur juridiction mais dans ce cas, de quelle juridiction cette affaire relève-t-elle ? Je pense que ce qui transparaît surtout dans cette décision, c'est bien entendu l'opinion du régime. Certains juges sont proches des gens du pouvoir et pratiquent beaucoup l'autocensure – ils ne veulent pas se mettre en porte-à-faux avec leurs "amis".
... suite de l'article sur Jeune Afrique


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