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Projet sous régional coton GCP/RAF/482/EC : les partenaires font le point de sa 1ère année d’exécution
Publié le jeudi 3 avril 2014   |  RTB




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Depuis 2013, le projet de promotion des Bonnes Pratiques Agricoles intitulé « Contribuer à la compétitivité et à l’intensification durable des filières cotonnières africaines par le développement des capacités en Gestion Intégrée de la Production et des Déprédateurs des cultures (GIPD) : GCP/RAF/482/EC » soutient la filière coton de trois (3) pays Ouest africains dont le Burkina. Après une année de mise en œuvre, partenaires, producteurs et acteurs de la mise en œuvre du projet sont réunis ce 2 avril à Ouagadougou autour d’une réunion de concertation pour faire le point de sa première année d’exécution et planifier les axes de collaboration pour la prochaine année.

elon la coordonnatrice internationale adjointe du programme GIPD, Anne Sophie POISOT, il s’agira au cours de cette réunion de « présenter à l’ensemble des partenaires et invités le projet, de présenter les résultats 2013 du Burkina, du Mali et du Sénégal et discuter avec les participants des axes de collaboration pour les prochaines années ».

Le Projet de Bonnes Pratiques Agricoles GCP/RAF/482/EC a une durée de quatre (4) ans et a pour objectif, selon le représentant adjoint de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), Rémy COURCIER, de contribuer à l’amélioration durable de la compétitivité, de la valeur ajoutée et de la viabilité des filières cotonnières africaines, de manière à optimiser l’impact sur le revenu des producteurs.

De son avis, le coton est une source importante de devises dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne et une source de subsistance pour plusieurs millions de familles d’agriculteurs mais reste confronté à des difficultés structurelles.

Alain TAGNAN, Conseiller Technique au Ministère en charge de l’Agriculture qui a représenté le ministre Mahama ZOUNGRANA à l’ouverture de cette réunion, a salué le choix du Burkina pour abriter la rencontre avant d’inviter les participants à avoir des discussions franches « afin d’aboutir à de résolutions qui permettrons une mise en œuvre efficiente des activités du projet ».

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