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Photojournalisme : un festival pour valoriser le métier
Publié le mardi 18 fevrier 2014   |  aOuaga.com


Photojournalisme
© aOuaga.com par Séni Dabo
Photojournalisme : un festival pour valoriser la profession
Mardi 18 février 2014. Ouagadougou. Le comité d`organisation du Festival de photojournalisme de Ouagadougou (FESPHO) a animé une conférence de presse pour présenter cet événement dont la première édition va se dérouler du 25 au 27 février 2014


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Le comité d’organisation de la première édition du Festival de photojournalisme de Ouagadougou (FESPHO) a animé une conférence de presse le 18 février 2014 à Ouagadougou. Il s’est agi de présenter cet événement qui va se dérouler du 25 au 27 février 2014 dans la capitale burkinabè.


Le photojournalisme sera à l’honneur du 25 au 27 février 2014 à l’occasion de la première édition du Festival de photojournalisme de Ouagadougou (FESPHO). A une semaine de l’événement, le comité d’organisation a animé une conférence de presse pour présenter l’événement.

Dans sa déclaration liminaire, Moussa Sawadogo, directeur général du groupe Le Décentreur et délégué général du festival, le FESPHO a vu le jour pour valoriser le travail des photographes de presse qui n’est pas beaucoup reconnu comme celui du simple journaliste. Le festival, a-t-il dit, a essentiellement pour objectifs de placer le photojournaliste au coeur de la pratique journalistique, de renforcer sans cesse la capacité des photographes de presse à la bonne pratique journalistique et de mettre en lumière le travail des photographes de presse du Burkina et d’ailleurs. Le festival est annuel et s’appuie sur trois axes qui sont une exposition photo sur 3 jours (du 25 au 27 février), un prix FESPHO pour récompenser les meilleures photos pour lequel 17 photographes ont déjà déposé 44 oeuvres oeuvres. Le troisième axe du festival est la formation, les débats et les échanges sur le photojournalisme. Le promoteur du festival a laissé entendre qu’il ne bénéficie d’aucun financement, d’aucune subvention. Pour un début, il dit avoir décidé de compter sur lui même en finançant le festival sur fonds propres à hauteur de 5 00 euros soit un peu plus de 3 millions de F CFA.

La première édition du FESPHO a pour marraine la présidente du Conseil supérieur de la communication (CSC), Béatrice Damiba. L’Institut français de Ouagadougou sera le quartier général du festival.


Séni DABO

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