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Beyon Luc Adolphe Tiao : "La rue ne peut pas renverser un gouvernement"
Publié le mardi 4 fevrier 2014   |  Jeune Afrique


Ecoles
© aOuaga.com par A.O
Ecoles et centres de formation de l`Etat : une rentrée unique pour tout le monde
Lundi 5 novembre 2013. Ouagadougou. Ecole nationale d`administration et de magistrature (ENAM). Le Premier ministre Luc Adolphe Tiao a présidé la cérémonie de rentrée harmonisée des écoles et centres de formation professionnelle de l`Etat


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Pour le Premier ministre burkinabè, Beyon Luc Adolphe Tiao, la révision constitutionnelle qui permettrait au président Compaoré de briguer un nouveau mandat doit faire l’objet d’un débat national.

En avril, cela fera trois ans que Beyon Luc Adolphe Tiao, ancien ambassadeur du Burkina en France, occupe la primature. Celui qui se définit comme "le premier collaborateur du président" est de ceux qui pensent que Blaise Compaoré n’a pas fini sa mission à la tête du pays.

Jeune Afrique : Des dizaines de milliers de Burkinabè ont manifesté le 18 janvier contre la modification de la Constitution et la création d’un Sénat. C’est un sérieux avertissement.

Beyon Luc Adolphe Tiao : Il faut reconnaître que cette marche a rassemblé du monde, mais cela prouve aussi qu’il est possible de s’exprimer librement dans ce pays. Chaque Burkinabè a le droit de manifester. Ce qui ne doit pas nous faire oublier qu’il y en a aussi qui soutiennent le chef de l’État, et qui seraient prêts, eux aussi, à en faire la démonstration. Cependant, nous ne nous inscrivons pas dans un bras de fer. Nous sommes dans une République. Cela signifie que nous utiliserons les voies légales pour appliquer notre politique. Ce n’est pas en descendant dans la rue qu’on fait tomber un gouvernement.

Faut-il modifier l’article 37, qui limite à deux le nombre de mandats présidentiels ?

... suite de l'article sur Jeune Afrique


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