Vœux 2014 de l’UNIR/PS à la presse : « que chaque journaliste joue sa partition dans l’histoire… » #aOuaga

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Vœux 2014 de l’UNIR/PS à la presse : « que chaque journaliste joue sa partition dans l’histoire… »

Publié le lundi 3 fevrier 2014 | Sidwaya

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Vœux 2014 de l’UNIR/PS à la presse : « que chaque journaliste joue sa partition dans l’histoire… »

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Le Bureau politique national (BPN) de l’Union pour la renaissance/Parti sankariste (UNIR/PS) a présenté le jeudi 30 janvier 2014 à Ouagadougou, ses vœux de nouvel an à la presse.

L’Union pour la renaissance/Parti sankariste (UNIR/PS) a sacrifié à sa traditionnelle présentation de vœux de nouvel an à la presse. A l’occasion, le président du « parti de l’œuf », Me Bénéwendé Stanislas Sankara, au nom du Bureau politique national (BPN), a exprimé la gratitude et la reconnaissance du parti aux femmes et hommes des médias. La cérémonie a été une occasion pour les responsables de l’UNIR /PS de communier avec la presse burkinabè dans la convivialité, tout en se prêtant à leurs différentes questions. En outre, Me Sankara a rassuré les journalistes de sa disponibilité dans les tout-prochains jours, à répondre à leurs préoccupations sur la situation nationale. « Je devine que vous piaffez d’impatience pour connaître la position de l’UNIR/PS sur certaines questions. Nous en avons pleine conscience et vous donnerons rendez-vous très prochainement, autour d’une conférence de presse où nous pourrions nous entretenir en toute sérénité et à cœur ouvert. », a-t-il promis. Selon lui, pour arriver à une véritable alternative sankariste, le parti compte se procurer les ressources nécessaires, en travaillant dans une nouvelle dynamique. C’est pour cette raison, a-t-il souligné, qu’un travail méthodique et scientifique a été élaboré, en tenant compte des contingences nouvelles et des mutations actuelles, afin d’éviter toute erreur. De l’avis du premier responsable du parti, la situation politique nationale doit être qualifiée de « situation insurrectionnelle » qui se doit d’être canalisée et transformée en action politique de changement alternatif. Compte tenu du contexte politique national, selon ses termes, est « devenu effervescent », avant même le moment « fatidique de 2015 », il a reconnu qu’il est difficile pour les journalistes de mener à bien leur tâche. « Mon parti, très conscient des nombreuses sollicitations dont vous serez l’objet à partir de maintenant, voudrait à l’orée du nouvel an, souhaiter à chacune et à chacun de vous, une santé de fer et espérer que chaque journaliste pourra jouer sa partition dans l’histoire de notre pays qui se dessine », a-t-il souhaité. Par ailleurs, le président du « parti de l’œuf » s’est dit satisfait de l’avènement de plusieurs nouveaux organes de presse, malgré les conditions difficiles que vit le paysage médiatique burkinabè. A titre illustratif, il a relevé que 2013 a été une année de « rude épreuve » pour le monde des médias, avec la résurgence de procès contre des journalistes, des actes d’intimidation et de menaces diverses. Et de préciser qu’à l’image de la Justice, le journaliste ne doit être guidé que par la vérité et des valeurs qui fondent le rêve commun d’une appartenance à un Etat démocratique et à une même nation. L’UNIR/PS a également réaffirmé sa solidarité aux journalistes, en les exhortant à davantage de détermination pour mieux affronter l’année 2014.

Ramatou OUEDRAOGO
(Stagiaire)

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